L’Entrée de la maison qui se situe à 2m devant les pigeons !
C’était le début du printemps
Puisque le lilas blanc
Fait son apparition !
C’était le début du printemps
Puisque le lilas blanc
Fait son apparition !
Un entre-deux !
Quel délice rencontré sur l’oiseau qui se morfond !
Sous ailes blessées il épuise ses nuits
En veille sans arrêt sur corbeau qui s’ennuie.
Tout sommeil épuisant, le serin se confond !
Sous ailes blessées il épuise ses nuits
En veille sans arrêt sur corbeau qui s’ennuie.
Tout sommeil épuisant, le serin se confond !
Et viennent les pigeons amants tendres à l’Amour
Unique et posent ça et là, picorent ensemble,
Que je vois chaque année, mêmes endroits toujours !
Ils se multiplient peut-être mais se ressemblent !
Unique et posent ça et là, picorent ensemble,
Que je vois chaque année, mêmes endroits toujours !
Ils se multiplient peut-être mais se ressemblent !
Cette année, même image en matinée d’orfèvre
Ils ont choisi la terrasse auvent de la maison
Bien à l’abri ont fait leurs nids roucoulent en trêve
Entre poutres de chêne bonheur en oraison !
Dans le calme olympien frémit toutes verdures
Aux nombreux décors aussi hauts qu’ils sont larges,
Semble le gazon pâle en cet avril qui dure
C’était le dix de deux mille quatre en marge !
Naissance d’Elfi, pigeons broutaient la pellicule !
Ils ont choisi la terrasse auvent de la maison
Bien à l’abri ont fait leurs nids roucoulent en trêve
Entre poutres de chêne bonheur en oraison !
Dans le calme olympien frémit toutes verdures
Aux nombreux décors aussi hauts qu’ils sont larges,
Semble le gazon pâle en cet avril qui dure
C’était le dix de deux mille quatre en marge !
Naissance d’Elfi, pigeons broutaient la pellicule !
Manquent les fleurs qui se montreraient aujourd’hui
Car la tempête a dévasté les trois sapins
Vieux de plus de trente ans inondaient les mi-nuits
Et l’aube-épine oeuvrant sur la résine de pin !
Car la tempête a dévasté les trois sapins
Vieux de plus de trente ans inondaient les mi-nuits
Et l’aube-épine oeuvrant sur la résine de pin !
Un charme chatoyant parle sereinement
Par les fleurs odorant la souche soupirant fort,
Iris bleus, narcisses d’or, flânent joyeusement
Un tout fleurdelisé faisant bon réconfort !
Par les fleurs odorant la souche soupirant fort,
Iris bleus, narcisses d’or, flânent joyeusement
Un tout fleurdelisé faisant bon réconfort !
De ci-de là, rosiers achèvent le chef d’œuvre
Tout en bouton la rose édite un sentiment
Tout en Nature s’élève un chant qu’elle manœuvre
Par l’Amour harmonie en air d’éther valsant !
Tout en bouton la rose édite un sentiment
Tout en Nature s’élève un chant qu’elle manœuvre
Par l’Amour harmonie en air d’éther valsant !
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