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Un entre-deux !

Polymnie2

Maître Poète
#1


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L’Entrée de la maison qui se situe à 2m devant les pigeons !
C’était le début du printemps
Puisque le lilas blanc

Fait son apparition !

Un entre-deux !

Quel délice rencontré sur l’oiseau qui se morfond !
Sous ailes blessées il épuise ses nuits
En veille sans arrêt sur corbeau qui s’ennuie.
Tout sommeil épuisant, le serin se confond !

Et viennent les pigeons amants tendres à l’Amour
Unique et posent ça et là, picorent ensemble,
Que je vois chaque année, mêmes endroits toujours !
Ils se multiplient peut-être mais se ressemblent !

Cette année, même image en matinée d’orfèvre
Ils ont choisi la terrasse auvent de la maison
Bien à l’abri ont fait leurs nids roucoulent en trêve
Entre poutres de chêne bonheur en oraison !

Dans le calme olympien frémit toutes verdures
Aux nombreux décors aussi hauts qu’ils sont larges,
Semble le gazon pâle en cet avril qui dure
C’était le dix de deux mille quatre en marge !
Naissance d’Elfi, pigeons broutaient la pellicule !

Manquent les fleurs qui se montreraient aujourd’hui
Car la tempête a dévasté les trois sapins
Vieux de plus de trente ans inondaient les mi-nuits
Et l’aube-épine oeuvrant sur la résine de pin !

Un charme chatoyant parle sereinement
Par les fleurs odorant la souche soupirant fort,
Iris bleus, narcisses d’or, flânent joyeusement
Un tout fleurdelisé faisant bon réconfort !

De ci-de là, rosiers achèvent le chef d’œuvre
Tout en bouton la rose édite un sentiment
Tout en Nature s’élève un chant qu’elle manœuvre

Par l’Amour harmonie en air d’éther valsant !

Polymnie2, ce 11avril 2019

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L'arrière de la maison, sortie de garage! c'est une butte descendant vers la terre et ruisseau!
agrémentée d'une ruche appartenant à mon Parrain!
le vert à ses côtés est le fameux sureau
qui aujourd'hui est le triple!
deux pigeons encore se nourrissent!






i
 

Vega46

Maître Poète
#2
Très beau poème il ne manque rien à cette nouvelle renaissance printanière !.

Si, ces trois malheureux sapins victimes de la tempête !.

Finalement tu es une campagnarde comme moi Poly prête à éclore à chaque printemps !.

Bises amicales Momo
MLCCACTP
 

Polymnie2

Maître Poète
#4
Très beau poème il ne manque rien à cette nouvelle renaissance printanière !.

Si, ces trois malheureux sapins victimes de la tempête !.

Finalement tu es une campagnarde comme moi Poly prête à éclore à chaque printemps !.

Bises amicales Momo
MLCCACTP
Oui, ces trois malheureux sapins 'et deux autres
en les années 199O et plus peut-être
et toute laurières qui nous avaient été offertes
placées derrière la maison) ont été dévastés!!
Un chaud sauvage que j'ai regretté, mais ne représente
plus rien pour moi! sauf que du chemin sans issu
disparaissait la maison! ceci seulement je le regrettais!

Je suis oui, campagnarde dans l'âme mais sans connaissance!

Bien amicalement, bises Poly
 

Vega46

Maître Poète
#6
Oui, ces trois malheureux sapins 'et deux autres
en les années 199O et plus peut-être
et toute laurières qui nous avaient été offertes
placées derrière la maison) ont été dévastés!!
Un chaud sauvage que j'ai regretté, mais ne représente
plus rien pour moi! sauf que du chemin sans issu
disparaissait la maison! ceci seulement je le regrettais!

Je suis oui, campagnarde dans l'âme mais sans connaissance!

Bien amicalement, bises Poly
Bonjour Poly

Je pense que ces malheureux sapins ont été victimes de la tempête de décembre 1999 !.

J’étais en activité à cette époque éleveur de sapins Douglas de peupliers un pépiniériste forestier, d’où ce côté homme des bois qui m'est resté...

Bonne journée chère Poly
Je t’embrasse
Momo
MLCCACTP
 
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Polymnie2

Maître Poète
#8
Très beau poème il ne manque rien à cette nouvelle renaissance printanière !.

Si, ces trois malheureux sapins victimes de la tempête !.

Finalement tu es une campagnarde comme moi Poly prête à éclore à chaque printemps !.

Bises amicales Momo
MLCCACTP
Oui tu as raison, car les ormeaux ont été visés
plus particulièrement cette année là!
Je me suis fait à un nouvel horizon
où se plait le saule pleureur!
J'ai l'âme de la terre souriant son bonheur!

Bises avec un rayon sous la plume son crayon, Poly
 

Polymnie2

Maître Poète
#9
J'aime bien ton poème mais les pigeons je les préfère avec des p'tits poids ;)
C'est pour cela que vers yeux s'aiguisent les regards!
Les petits pois de la campagne méritent un sucre
à la cuisson!
Les nôtres pigeons, étaient bénis avant de baisser les ailes!
Mon mari allait au clocher de l'église, pour leurs fermer les yeux!
Je préférais ne pas le savoir!!!!!

Merci à toi, amitiés, Poly
 
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