Un Dimanche à la Bastide
D'un havre entre deux tables, les mains se mélangeaient
Et les gamins grimpant, les arbres centenaires
Cavaliers sur les branches, oubliant de manger
Guerroyaient de l'orage, la foudre et les éclairs
Fascinante Présence, qui vit de rêverie
Douceur de l'insouciance, à l'étreinte du temps
J'ai vu à ton visage, l'eau de ma Poésie
L'unique paysage, dont le bonheur s'éprend
Sous une pluie battante, la forêt fleurs de lune
Comme un défi aux Dieux, ondoyant vers mes yeux
Quintessence et splendeur, ta fière nuque brune
A l'effluve des sens, la voie qui mène aux Cieux
Reviens toujours vêtu, de matinée radieuse
Au jour où la Bastide, nous convie d'un festin
Et qu'à mes lèvres coule, Ô gorge délicieuse
Ta bouche irrésistible, succulente de vin
Paule
D'un havre entre deux tables, les mains se mélangeaient
Et les gamins grimpant, les arbres centenaires
Cavaliers sur les branches, oubliant de manger
Guerroyaient de l'orage, la foudre et les éclairs
Fascinante Présence, qui vit de rêverie
Douceur de l'insouciance, à l'étreinte du temps
J'ai vu à ton visage, l'eau de ma Poésie
L'unique paysage, dont le bonheur s'éprend
Sous une pluie battante, la forêt fleurs de lune
Comme un défi aux Dieux, ondoyant vers mes yeux
Quintessence et splendeur, ta fière nuque brune
A l'effluve des sens, la voie qui mène aux Cieux
Reviens toujours vêtu, de matinée radieuse
Au jour où la Bastide, nous convie d'un festin
Et qu'à mes lèvres coule, Ô gorge délicieuse
Ta bouche irrésistible, succulente de vin
Paule