Un conte Abracadabrant…
Il est un songe attirant ;
Avait-il dans cette âme une foi dans la sève !
Un regain à l’espoir où se trouble le rêve,
Sa peine en croix l’insérant.
À son surnom si courant
Revenant comme une ombre effrayant la nuit brève,
De ce rythme fébrile une chaleur s’élève
Il est un songe attirant !
N’est-il pas vain ce faible oubliant son élève,
À cet amour capturant
L’autre, qu’il peut le jurant ;
Avait-il dans cette âme une foi dans la sève !
Que fut-elle brûlante, élixir qu’elle enlève
D’un amer édulcorant,
À ce fruit mûr macérant
Un regain à l’espoir où se trouble le rêve !
Qu’à cet affront encombrant
Souffrant de la rumeur s’éloigne toute trêve
L’océan de sa lame a laissé sur la grève
Sa peine en croix l’insérant.
À tant courir se leurrant,
Qu’elle soit sorcière éprise tenant un glaive,
Ou cet ange priant sur ce soir qu’il s’achève
En chimères l’inspirant
Il est un songe attirant !
Il est un songe attirant ;
Avait-il dans cette âme une foi dans la sève !
Un regain à l’espoir où se trouble le rêve,
Sa peine en croix l’insérant.
À son surnom si courant
Revenant comme une ombre effrayant la nuit brève,
De ce rythme fébrile une chaleur s’élève
Il est un songe attirant !
N’est-il pas vain ce faible oubliant son élève,
À cet amour capturant
L’autre, qu’il peut le jurant ;
Avait-il dans cette âme une foi dans la sève !
Que fut-elle brûlante, élixir qu’elle enlève
D’un amer édulcorant,
À ce fruit mûr macérant
Un regain à l’espoir où se trouble le rêve !
Qu’à cet affront encombrant
Souffrant de la rumeur s’éloigne toute trêve
L’océan de sa lame a laissé sur la grève
Sa peine en croix l’insérant.
À tant courir se leurrant,
Qu’elle soit sorcière éprise tenant un glaive,
Ou cet ange priant sur ce soir qu’il s’achève
En chimères l’inspirant
Il est un songe attirant !