Inévitable souffrance qui me détruit, J’avance vers cet horizon qui ne finit De s’éloigner de moi. Je ne peux endurer Souffrances plus longtemps, je veux m’en extirper. Je n’ai qu’une seule envie, conquérir ton cœur, Qui comme cette ligne, s’en va de moi par peur, Je ne veux mal à ton organe de l’amour, J’aimerai que « oui » soit ton unique recourt. Je t’avouerai que l’angoisse me prend sans cesse, Quand je ne t’aperçois pas, mon cœur, seul, se blesse, Je suis pris d’une passion trop lourde pour moi, De l’Amour qui pour moi ne s’arrêtera pas. Je t’ai cherché toute ma vie chaque seconde, J’étais un Candide cherchant sa Cunégonde. Un ingénu rempli d’un profond pessimisme, Mais qui éprouve de l’amour au paroxysme.
Un Chemin vers l'Amour
- Auteur de la discussion Alexandrin241997
- Date de début
Bonjour, je voulais vous faire savoir que vous êtes victime de plagiat, ainsi que tant d'autres , ce parMonsieur AlainHiel, alias Billy Crevecoeur, alias
Alain Crevecoeur Poete Hiel
11 août, 14:02
Inévitable souffrance qui me détruit,
J’avance vers cet horizon qui ne finit
De s’éloigner de moi. Je ne peux endurer
Souffrances plus longtemps, je veux m’en extirper.
Je n’ai qu’une seule envie, conquérir ton cœur,
Qui comme cette ligne, s’en va de moi par peur,
Je ne veux mal à ton organe de l’amour,
J’aimerai que « oui » soit ton unique recourt.
Je t’avouerai que l’angoisse me prend sans cesse,
Quand je ne t’aperçois pas, mon cœur, seul, se blesse,
Je suis pris d’une passion trop lourde pour moi,
De l’Amour qui pour moi ne s’arrêtera pas.
Je t’ai cherchée toute ma vie chaque seconde,
J’étais un Candide cherchant sa Cunégonde.
Un ingénu rempli d’un profond pessimisme,
Mais qui éprouve de l’amour au paroxysme.
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Bien à vous
Alain Crevecoeur Poete Hiel
11 août, 14:02
Inévitable souffrance qui me détruit,
J’avance vers cet horizon qui ne finit
De s’éloigner de moi. Je ne peux endurer
Souffrances plus longtemps, je veux m’en extirper.
Je n’ai qu’une seule envie, conquérir ton cœur,
Qui comme cette ligne, s’en va de moi par peur,
Je ne veux mal à ton organe de l’amour,
J’aimerai que « oui » soit ton unique recourt.
Je t’avouerai que l’angoisse me prend sans cesse,
Quand je ne t’aperçois pas, mon cœur, seul, se blesse,
Je suis pris d’une passion trop lourde pour moi,
De l’Amour qui pour moi ne s’arrêtera pas.
Je t’ai cherchée toute ma vie chaque seconde,
J’étais un Candide cherchant sa Cunégonde.
Un ingénu rempli d’un profond pessimisme,
Mais qui éprouve de l’amour au paroxysme.
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Bien à vous