Une longue route encadrée de longs arbres,
De hauts arbres encore charnus, aux teintes mordorées ,
Et le silence, rien de plus, apaisant,
Que le bruit des oiseaux sursautant
Cherchant pitence, et rien, rien que le feutre léger
D'un zéphyr Offrant une bribe de souffle haletant
Un râle de la Nature prête pour un sommeil hibernant
L' Automne est une saison intermédiaire,
Avec ses pluies, ses vents, ses feuilles virevoltantes
Et rien, rien qu' une terre détrempée, où insolente
Et rampantes, les larves cachées et les oiselles se cherchent trouvant à déjeuner,
L'hiver à sa porte, rien, plus rien que des pas clapotant dans des flaques,
Il faut sortir pour travailler, même les bus ramassent les hommes sans freiner
De peur de déraper. Tout ce petit monde va peu à peu somnoler,
Attendant, comme il se doit, un Printemps sous les bruits des bourgeons qui vont eclater.....
Apaisant,
de savoir que nous humains, vivrons une nouvelle année...
De hauts arbres encore charnus, aux teintes mordorées ,
Et le silence, rien de plus, apaisant,
Que le bruit des oiseaux sursautant
Cherchant pitence, et rien, rien que le feutre léger
D'un zéphyr Offrant une bribe de souffle haletant
Un râle de la Nature prête pour un sommeil hibernant
L' Automne est une saison intermédiaire,
Avec ses pluies, ses vents, ses feuilles virevoltantes
Et rien, rien qu' une terre détrempée, où insolente
Et rampantes, les larves cachées et les oiselles se cherchent trouvant à déjeuner,
L'hiver à sa porte, rien, plus rien que des pas clapotant dans des flaques,
Il faut sortir pour travailler, même les bus ramassent les hommes sans freiner
De peur de déraper. Tout ce petit monde va peu à peu somnoler,
Attendant, comme il se doit, un Printemps sous les bruits des bourgeons qui vont eclater.....
Apaisant,
de savoir que nous humains, vivrons une nouvelle année...
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