Je me sauve de la tempête à l'interrieur,
Pour celle de l'exterrieur.
J'ai mal à la tête et mal au coeur,
Que le vent m'emporte loin.
Je marche jusqu'à la forêt,
Puis me cache sous la poudrerie blanche.
À travers la noirceur et les flocons,
Je vois une ombre passée.
Je crois perdre la raison,
Puis je me rappel de toi.
De ton savoir, de ton sourire,
Soudain, je réalise que c'est toi.
Je poursuit ton ombre à travers les arbres,
D'un coup, tu t'arrête.
Puis, tu te retourne et me sourire,
Je pleure comme une rivière.
La tempête fait rage et je n'y voie presque plus rien,
Dit moi pourquoi tu pleure ?
Je sursaute au son de ta voix, si proche de moi,
Je pleure toujours de désespoire.
Comme le dit si bien un dicton: personne ne mérite tes larmes,
Et celui qui les mérite ne te fera jamais pleurer.
Je ne te répond pas.
Une larme coule sur ma joue,
Tu t'approche et l'essuie.
Je dois partir.. tu dois me laisser partir.
Je te regarde en silence,
Tout devient sombre et flou.
Je me réveille en sursaut dans mon lit,
Je me lève et me regarde dans la glace.
Mes joues sont humides, mes yeux rougies,
Je sors de ma chambre, puis monte l'escalier.
Je m'approche de la fenêtre sans bruit,
Dehors, il fait clair et il neige.
Va.. tu dois partir, tu peux partir...
Un rayon de soleil traverse la fenetre pour embrasser ma joue,
La vie est trop courte pour s'attarder aux mort.
Je le sais maintenant...
Repose en paix, grand-pere
Pour celle de l'exterrieur.
J'ai mal à la tête et mal au coeur,
Que le vent m'emporte loin.
Je marche jusqu'à la forêt,
Puis me cache sous la poudrerie blanche.
À travers la noirceur et les flocons,
Je vois une ombre passée.
Je crois perdre la raison,
Puis je me rappel de toi.
De ton savoir, de ton sourire,
Soudain, je réalise que c'est toi.
Je poursuit ton ombre à travers les arbres,
D'un coup, tu t'arrête.
Puis, tu te retourne et me sourire,
Je pleure comme une rivière.
La tempête fait rage et je n'y voie presque plus rien,
Dit moi pourquoi tu pleure ?
Je sursaute au son de ta voix, si proche de moi,
Je pleure toujours de désespoire.
Comme le dit si bien un dicton: personne ne mérite tes larmes,
Et celui qui les mérite ne te fera jamais pleurer.
Je ne te répond pas.
Une larme coule sur ma joue,
Tu t'approche et l'essuie.
Je dois partir.. tu dois me laisser partir.
Je te regarde en silence,
Tout devient sombre et flou.
Je me réveille en sursaut dans mon lit,
Je me lève et me regarde dans la glace.
Mes joues sont humides, mes yeux rougies,
Je sors de ma chambre, puis monte l'escalier.
Je m'approche de la fenêtre sans bruit,
Dehors, il fait clair et il neige.
Va.. tu dois partir, tu peux partir...
Un rayon de soleil traverse la fenetre pour embrasser ma joue,
La vie est trop courte pour s'attarder aux mort.
Je le sais maintenant...
Repose en paix, grand-pere