Rappelle-toi Sophie d'un hiver assassin
De tes baisers furtifs meutris par décadence
Ce n'est même plus l'orage qui fut romance
Mais une pluie de fer qui tue tel un spadassin.
J'ai suivi Athéna pour combattre les malsains
Toujours, j'ai ôter des vies avec véhémence
Pour la liberté de notre amour si dense
Je m'effondre chaque soir aux coups de tocsin.
Aujourd'hui ton destin t'a égorgé à l'est
Tandis que mes désirs de toi brûlaient à l'ouest
L'aurore de mon amour commence à poindre.
La boîte de Pandore fut céleste
Face au désarroi, seul pour vivre à Brest
C'est une pluie de dueil qui me reste à craindre