Tu es une goutte fraîche que je veux boire
Quand la chaleur étouffante de l’été, le soir
Me donne envie de te savourer lentement
Pour rafraîchir mon corps devenu brûlant.
Sur mes lèvres entrouvertes et humides
Je ressens un besoin soudain torride
Je transpire, je soupire, je frémis
Par ce désir de toi qui prend vie.
Tu es une goutte légèrement amère et sucrée
Le long de ma gorge consentante et libérée
De pouvoir assouvir les pulsions révélées
Par l’intensité des émotions que tu as suscitées.
La bouteille dans mes mains moites ou asséchées
Me donne des sensations érotiques censurées
Des idées qui ne te laisseraient pas de glace
Et crois moi, tu ne tiendrais plus en place.
Tu es une goutte troublante et tentatrice
Sur mon corps offert, j’aimerais que tu glisses
Vient te perdre sur ma peau soumise
En attente de tes caresses exquises.
Oui, viens te perdre et trouve le chemin
Au carrefour de mes seins, de mes reins
Laisse toi guider vers l’intérieur de mes cuisses
Et évapore toi en moi dans un va et vient complice.
Isabelle ( premiere version non corrigée, remanié plus haut sur la page avec le titre en majuscule)
Quand la chaleur étouffante de l’été, le soir
Me donne envie de te savourer lentement
Pour rafraîchir mon corps devenu brûlant.
Sur mes lèvres entrouvertes et humides
Je ressens un besoin soudain torride
Je transpire, je soupire, je frémis
Par ce désir de toi qui prend vie.
Tu es une goutte légèrement amère et sucrée
Le long de ma gorge consentante et libérée
De pouvoir assouvir les pulsions révélées
Par l’intensité des émotions que tu as suscitées.
La bouteille dans mes mains moites ou asséchées
Me donne des sensations érotiques censurées
Des idées qui ne te laisseraient pas de glace
Et crois moi, tu ne tiendrais plus en place.
Tu es une goutte troublante et tentatrice
Sur mon corps offert, j’aimerais que tu glisses
Vient te perdre sur ma peau soumise
En attente de tes caresses exquises.
Oui, viens te perdre et trouve le chemin
Au carrefour de mes seins, de mes reins
Laisse toi guider vers l’intérieur de mes cuisses
Et évapore toi en moi dans un va et vient complice.
Isabelle ( premiere version non corrigée, remanié plus haut sur la page avec le titre en majuscule)