Une bougie allumée, un brin de lueur,
Peu de chaleur s'en échappe.
Dans ma poitrine, des sursauts frappent.
Triste réconfort pour ce triste cœur.
Plusieurs mois se sont écoulés,
Les saisons ont suivit leurs courts.
Seule ma peine est restée échouée,
Là, isolée après ce mauvais tour.
Les larmes lourdes coulent silencieuses,
Sur ce visage marqué par leur passage,
Pour les retenir, regarder les nuages,
Comme pour devenir un plus pieuse.
Au plus profond hurle la douleur,
Enfouie, cachée sous de fausse couleur,
A fleur de cœur comme toujours,
Espérant l'arrivé d'un nouveau jour.
Et ce sourire hypocrite, obligatoire,
Ne m'en voulait pas de ne pas me réjouir.
Je ne sais plus depuis comment rire.
Eviter leur bonheur pour étouffer ma mémoire.
Se rendre muette pour taire son regret.
La solution serai de savoir pardonner,
Surement plus raisonnable que de détester.
Dire ô revoir avant même de se rencontrer...
M.B.B
Peu de chaleur s'en échappe.
Dans ma poitrine, des sursauts frappent.
Triste réconfort pour ce triste cœur.
Plusieurs mois se sont écoulés,
Les saisons ont suivit leurs courts.
Seule ma peine est restée échouée,
Là, isolée après ce mauvais tour.
Les larmes lourdes coulent silencieuses,
Sur ce visage marqué par leur passage,
Pour les retenir, regarder les nuages,
Comme pour devenir un plus pieuse.
Au plus profond hurle la douleur,
Enfouie, cachée sous de fausse couleur,
A fleur de cœur comme toujours,
Espérant l'arrivé d'un nouveau jour.
Et ce sourire hypocrite, obligatoire,
Ne m'en voulait pas de ne pas me réjouir.
Je ne sais plus depuis comment rire.
Eviter leur bonheur pour étouffer ma mémoire.
Se rendre muette pour taire son regret.
La solution serai de savoir pardonner,
Surement plus raisonnable que de détester.
Dire ô revoir avant même de se rencontrer...
M.B.B