Triste sans toi
Arpenter sans toi, les couloirs de la vie,
C’est parfois si compliqué pourtant j’essaye,
Je te devine partout où la nature s’égaille,
Une sensation me saisit trop vite, m’envahit.
Dans ma poitrine mon cœur se serre fort,
En vain, au gré du ciel, je cherche ton étoile,
Celle qui dessinerait ton visage sur la toile,
Mon regard borde les esquisses en accords.
Tous les jours ont un petit gout d’amertume,
Dès que je m’aperçois que ta place est vide,
Tout à coup, mon sourire n’est plus candide,
De la fenêtre, j’observe le ciel pleurait sur le bitume.
Mais autour de moi, je vois que toi, tu n’es pas là,
Depuis quelque temps, tu as rejoint le doux firmament,
En moi, pour toujours, tu vis tendrement,
Tristement, je te parle, et te souris en fixant l’au-delà.
Arpenter sans toi, les couloirs de la vie,
C’est parfois si compliqué pourtant j’essaye,
Je te devine partout où la nature s’égaille,
Une sensation me saisit trop vite, m’envahit.
Dans ma poitrine mon cœur se serre fort,
En vain, au gré du ciel, je cherche ton étoile,
Celle qui dessinerait ton visage sur la toile,
Mon regard borde les esquisses en accords.
Tous les jours ont un petit gout d’amertume,
Dès que je m’aperçois que ta place est vide,
Tout à coup, mon sourire n’est plus candide,
De la fenêtre, j’observe le ciel pleurait sur le bitume.
Mais autour de moi, je vois que toi, tu n’es pas là,
Depuis quelque temps, tu as rejoint le doux firmament,
En moi, pour toujours, tu vis tendrement,
Tristement, je te parle, et te souris en fixant l’au-delà.