Tout ira
Il reste une histoire à écrire,
Les médisants veulent proscrire,
Ce qui reste de sentiments,
Tout ira, car nous sommes vivants,
La vie est emplie de malheur,
Je vois juste en me retournant,
Qu'il y a toujours, raison et heure,
Expliquer le bien être est embêtant,
Les plus grands poètes sont des souffrants,
Sauf Victor, Lamartine et Chateaubriant,
Qui savaient cacher le mal Intime,
J'oublie Monsieur Jean, fabulant sur les cimes,
Tout ira, car nous sommes vivants,
Et si parler du bonheur fait mal,
C'est la honte d'être aisé, bien portant,
En comparaison, de ces gens en cavale,
Car rien ne se fera, nous le savons,
Alors nous écrivons, évitons le savon,
De dire la vérité, avant de changer de Pays,
Il reste de l'espoir, car nous vivons ici,
Il vaut mieux se battre pour nos considérations,
Se serait tellement compliqué, de prendre l'avion,
Pour voir de nos yeux, les mouches et les affamés,
Ceux que je respecte, cent kilomètres pour chasser.
Il reste une histoire à écrire,
Les médisants veulent proscrire,
Ce qui reste de sentiments,
Tout ira, car nous sommes vivants,
La vie est emplie de malheur,
Je vois juste en me retournant,
Qu'il y a toujours, raison et heure,
Expliquer le bien être est embêtant,
Les plus grands poètes sont des souffrants,
Sauf Victor, Lamartine et Chateaubriant,
Qui savaient cacher le mal Intime,
J'oublie Monsieur Jean, fabulant sur les cimes,
Tout ira, car nous sommes vivants,
Et si parler du bonheur fait mal,
C'est la honte d'être aisé, bien portant,
En comparaison, de ces gens en cavale,
Car rien ne se fera, nous le savons,
Alors nous écrivons, évitons le savon,
De dire la vérité, avant de changer de Pays,
Il reste de l'espoir, car nous vivons ici,
Il vaut mieux se battre pour nos considérations,
Se serait tellement compliqué, de prendre l'avion,
Pour voir de nos yeux, les mouches et les affamés,
Ceux que je respecte, cent kilomètres pour chasser.