Tourbillons de nos sentiments
Même si jamais, ton regard ne se tourne vraiment vers ma direction,
À peine, je sens ta présence, jailliront en moi tellement d'émotions,
Ton parfum réveille en moi, une vague de sentiments et de passion,
Par ce beau jour d'été, où ton regard est venu croiser le mien,
Intimidée, j'ai tout de même cherché à venir embraser le tien,
Lorsqu'ils furent échangés furtivement, nous nous comprenions bien,
Si seulement, il pouvait se présenter une occasion, d'être proche,
Jusqu'à ce qu'en douceur nos doigts s'entrelacent puis s'accrochent,
Tu m'as séduite au point de tenter de graver ton prénom sur une roche,
Parfois, il arrive qu'aux grès de chimères, je me laisse emporter,
Sous les grâces des sentiments si forts que je voudrais te porter,
Entre des regards, des sourires échangés, tu as pu me faire colporter,
Si tu me le demandé, alors pour toi seul, je pourrais être ta muse,
Se laisser tomber l'un contre l'autre jusqu'à ce que l'on en abuse,
Pourvu que nos corps ne cessent de s'étreindre jusqu'à ce qu'ils s'usent,
Au point de faire chavirer nos cœurs, qu'à jamais, ils puissent s'embrasés,
Pris de frissons d'amour, soudainement, je me surprends à oser rêver,
De ce jour où auprès de toi, j'observerais le soleil se coucher et se lever,
Si seulement tu pouvais me prendre aux creux de tes bras lorsque j'ai froid,
Me protéger, me rassurer lorsque je suis perdu et prise d'effrois,
Il m'arrive de rêver que tu viennes me réchauffer, alors que je meurs de froid,
L'écho de ta voix me donne les frissons qui me font vibrer et me parcourent,
Pendant que nos regards s'attardent l'un dans l'autre, plus besoin de discours,
Viens, oui, viens, prends ma main et jouons tous les deux à se faire la cour.
Même si jamais, ton regard ne se tourne vraiment vers ma direction,
À peine, je sens ta présence, jailliront en moi tellement d'émotions,
Ton parfum réveille en moi, une vague de sentiments et de passion,
Par ce beau jour d'été, où ton regard est venu croiser le mien,
Intimidée, j'ai tout de même cherché à venir embraser le tien,
Lorsqu'ils furent échangés furtivement, nous nous comprenions bien,
Si seulement, il pouvait se présenter une occasion, d'être proche,
Jusqu'à ce qu'en douceur nos doigts s'entrelacent puis s'accrochent,
Tu m'as séduite au point de tenter de graver ton prénom sur une roche,
Parfois, il arrive qu'aux grès de chimères, je me laisse emporter,
Sous les grâces des sentiments si forts que je voudrais te porter,
Entre des regards, des sourires échangés, tu as pu me faire colporter,
Si tu me le demandé, alors pour toi seul, je pourrais être ta muse,
Se laisser tomber l'un contre l'autre jusqu'à ce que l'on en abuse,
Pourvu que nos corps ne cessent de s'étreindre jusqu'à ce qu'ils s'usent,
Au point de faire chavirer nos cœurs, qu'à jamais, ils puissent s'embrasés,
Pris de frissons d'amour, soudainement, je me surprends à oser rêver,
De ce jour où auprès de toi, j'observerais le soleil se coucher et se lever,
Si seulement tu pouvais me prendre aux creux de tes bras lorsque j'ai froid,
Me protéger, me rassurer lorsque je suis perdu et prise d'effrois,
Il m'arrive de rêver que tu viennes me réchauffer, alors que je meurs de froid,
L'écho de ta voix me donne les frissons qui me font vibrer et me parcourent,
Pendant que nos regards s'attardent l'un dans l'autre, plus besoin de discours,
Viens, oui, viens, prends ma main et jouons tous les deux à se faire la cour.