Toujours n'existe pas
Nos deux corps enflammés,
Unis jusqu'à demain,
Dans le feu affammé,
Passion sans lendemain.
Son haleine chaude dans mon cou,
Parcourt ma peau de baisers,
Mais chaque battement se mue en coup,
De couteau à mon coeur brisé.
Je t'aime pour toujours,
Me dit sa voix,
Mais hélas toujours,
N'existe pas.
Je ferme les yeux pour oublier,
Le mal auquel je me prépare,
Mon âme en peine voudrait crier,
Mais demain il sera trop tard.
Car toujours n'existe pas,
Quoi que vous puissiez en dire,
Toujours ne persiste pas,
Il finira par mourir.
Déjà nos lèvres se séparent,
Mes pleurs trop longtemps contenus,
Eclatent doucement dans le noir,
Je ne l'ai même pas retenu.
Hélas mon étoile s'est éteinte,
Et encore une fois dans le noir,
Je regrette cette intense étreinte,
Laquelle m'a laissée sans espoir.
Il y en aura d'autres, je le sais,
Joies inespérées, et provisoires,
Et encore d'autres qui vont me laisser,
Sans prendre la peine de dire au revoir.
Car toujours n'existe pas,
M'ont appris mes douloureuses larmes,
Mais le jour ne viendra pas,
Eclairer les lambeaux de mon âme.
Seule, je regarde le jour se lever,
Mes pleurs meurrent, pour renaître aussitôt,
Je n'ai que le temps de me lever
Pour chercher une lame ou plutôt,
Ce qui me permettra de me sauver,
Et de quitter ce monde très bientôt.
Mon sang coule,
Lentement le long de mon bras,
Perles qui roulent
Est-ce qu'un jour quelqu'un comprendra ?
Puisque toujours n'existe pas,
Et que l'amour est éphémère,
S'il vous plaît ne m'en voulez pas,
D'avoir foutu ma vie en l'air
Toujours n'existe pas
Nos deux corps enflammés,
Unis jusqu'à demain,
Dans le feu affammé,
Passion sans lendemain.
Son haleine chaude dans mon cou,
Parcourt ma peau de baisers,
Mais chaque battement se mue en coup,
De couteau à mon coeur brisé.
Je t'aime pour toujours,
Me dit sa voix,
Mais hélas toujours,
N'existe pas.
Je ferme les yeux pour oublier,
Le mal auquel je me prépare,
Mon âme en peine voudrait crier,
Mais demain il sera trop tard.
Car toujours n'existe pas,
Quoi que vous puissiez en dire,
Toujours ne persiste pas,
Il finira par mourir.
Déjà nos lèvres se séparent,
Mes pleurs trop longtemps contenus,
Eclatent doucement dans le noir,
Je ne l'ai même pas retenu.
Hélas mon étoile s'est éteinte,
Et encore une fois dans le noir,
Je regrette cette intense étreinte,
Laquelle m'a laissée sans espoir.
Il y en aura d'autres, je le sais,
Joies inespérées, et provisoires,
Et encore d'autres qui vont me laisser,
Sans prendre la peine de dire au revoir.
Car toujours n'existe pas,
M'ont appris mes douloureuses larmes,
Mais le jour ne viendra pas,
Eclairer les lambeaux de mon âme.
Seule, je regarde le jour se lever,
Mes pleurs meurrent, pour renaître aussitôt,
Je n'ai que le temps de me lever
Pour chercher une lame ou plutôt,
Ce qui me permettra de me sauver,
Et de quitter ce monde très bientôt.
Mon sang coule,
Lentement le long de mon bras,
Perles qui roulent
Est-ce qu'un jour quelqu'un comprendra ?
Puisque toujours n'existe pas,
Et que l'amour est éphémère,
S'il vous plaît ne m'en voulez pas,
D'avoir foutu ma vie en l'air
Toujours n'existe pas