Vingt ans de partage et de connivences !
Vingt années de bagages en résonance
Réunis en cette unique et même demeure
Qui garde ses mimiques et ses senteurs.
Savez vous ce que j’endure et ressens ?
Voyez vous ce futur plus qu’inexistant
Qui grimace les démons de son inimitié
En brûlant les pétales de ma vie acidulée ?
Elle fut ma femme un jour ! une année !
Et le demeurera toujours ! à jamais !
Elle fut ma moitié vingt ans de bonheur !
À présent incomplet, je survis au malheur.
J’ai perdu plus que l’amour d’une femme :
J’ai perdu la présence d’une flamme !
Et je gèle dans le jardin des solitudes
Entre nos souvenirs et des certitudes.
Je me souviens des mains de son sourire
Qui prenaient mes chagrins pour de la cire
Et qui éteignaient leurs pauvres lueurs
Pour s’éclaircir en force et en longueur.
Je suis certain d’être perdu sous le ciel,
Attiré par une étoile trop lumineuse
Qui m’éclaire cette vie pénitentiel
Sans en voir les forces pernicieuses.
je vis le regard désaxé sur les cieux
Et plus fou que jamais je dénie les dieux.
Je veux qu’ils se vexent de mon audace
Pour revenir à ses côtés ; à ma place !
Vingt années de bagages en résonance
Réunis en cette unique et même demeure
Qui garde ses mimiques et ses senteurs.
Savez vous ce que j’endure et ressens ?
Voyez vous ce futur plus qu’inexistant
Qui grimace les démons de son inimitié
En brûlant les pétales de ma vie acidulée ?
Elle fut ma femme un jour ! une année !
Et le demeurera toujours ! à jamais !
Elle fut ma moitié vingt ans de bonheur !
À présent incomplet, je survis au malheur.
J’ai perdu plus que l’amour d’une femme :
J’ai perdu la présence d’une flamme !
Et je gèle dans le jardin des solitudes
Entre nos souvenirs et des certitudes.
Je me souviens des mains de son sourire
Qui prenaient mes chagrins pour de la cire
Et qui éteignaient leurs pauvres lueurs
Pour s’éclaircir en force et en longueur.
Je suis certain d’être perdu sous le ciel,
Attiré par une étoile trop lumineuse
Qui m’éclaire cette vie pénitentiel
Sans en voir les forces pernicieuses.
je vis le regard désaxé sur les cieux
Et plus fou que jamais je dénie les dieux.
Je veux qu’ils se vexent de mon audace
Pour revenir à ses côtés ; à ma place !