Ton piano commence, mes oreilles t'écoutent, c'est un moment d'évasion.
Mon regarde est maintenant perdu, tes mots débutent et j'espère.
La magie de cette chanson m'envahie, et à cette première écoute,
je comprends tes mots, tes envies et tes doutes.
Tu as beau être célèbre, la passion est la même,
La poésie t'entraîne là où il n'y a plus de haine.
Quand il m'est arrivé de toucher l'instant,
devant mon piano ou même devant des gens,
je ne respirais plus que pour ces mots,
qui me font oublier ce que je suis vraiment.
Alors je sème des mots, j'espère tout haut
La magie du slam m'entraîne haut delà des nuages,
là où seuls les poètes savent,
que le monde est loin d'être sage.
Mais on ne pense plus a ça, on touche l'instant où on sait que tous est possible,
car les mots guérissent les maux, et les maux provoquent les mots.
Chaque rime guérie notre esprit, chaque parole part loin d'ici.
D'un coup, tous nous échappe. On a touché l'instant et du bout de sa plume,
on assume.
On assume ses mots, ses pensées ses cris.
On assume le fait d'être un peu différent.
Car on a un jour touché l'instant.
Ton piano se termine en même temps que tes mots.
C'est la fin de l'évasion, de la passion.
La même qui nous guidera au-delà des nuages,
là où on voit les gens pas sages.
Mon regarde est maintenant perdu, tes mots débutent et j'espère.
La magie de cette chanson m'envahie, et à cette première écoute,
je comprends tes mots, tes envies et tes doutes.
Tu as beau être célèbre, la passion est la même,
La poésie t'entraîne là où il n'y a plus de haine.
Quand il m'est arrivé de toucher l'instant,
devant mon piano ou même devant des gens,
je ne respirais plus que pour ces mots,
qui me font oublier ce que je suis vraiment.
Alors je sème des mots, j'espère tout haut
La magie du slam m'entraîne haut delà des nuages,
là où seuls les poètes savent,
que le monde est loin d'être sage.
Mais on ne pense plus a ça, on touche l'instant où on sait que tous est possible,
car les mots guérissent les maux, et les maux provoquent les mots.
Chaque rime guérie notre esprit, chaque parole part loin d'ici.
D'un coup, tous nous échappe. On a touché l'instant et du bout de sa plume,
on assume.
On assume ses mots, ses pensées ses cris.
On assume le fait d'être un peu différent.
Car on a un jour touché l'instant.
Ton piano se termine en même temps que tes mots.
C'est la fin de l'évasion, de la passion.
La même qui nous guidera au-delà des nuages,
là où on voit les gens pas sages.