Je suis seule ce soir.
La maison est triste sans toi et mon lit est froid.
Mon cœur se serre à ton souvenir,
Mon corps se languissant de ton désir.
Allongée dans mon lit, mes pensées volent vers toi,
Nos derniers échanges, nos derniers émois…
En mémoire, me revient notre dernier câlin,
A ce souvenir, une douce chaleur m’étreint.
Seule une bougie éclaire ma chambre,
Illuminant les draps de couleur ambre.
La pénombre est propice à la rêverie,
Cette douce lumière me rappelant mon chéri.
Toi, mon aimé, si loin de moi ce soir,
Et pourtant si proche dans mon isoloir.
Notre dernier câlin envahit ma tête,
Et mon corps se rappelle la scénette.
Une merveilleuse douleur au ventre,
Doucement, se concentre.
Je t’imagine, assis là devant moi,
Assis sur la chaise, tel un roi.
Mes mains commencent leurs caresses,
Pleines de promesses.
Elles frôlent mon visage, mes lèvres,
Ma respiration s’accélère.
Je te vois assis là, à me regarder,
Le spectacle semblant te captiver.
Mes mains poursuivent leur exploration,
Continuent leur perquisition.
Mes doigts tourmentent la pointe de mes seins,
Les caressent, les pincent, les étreints.
Je les sens se durcir sous les effleurements,
Se dressant hauts et fiers tels des conquérants.
Ils réclament ta bouche, ta langue, tes baisers,
Se souvenant de cette volupté d’être sucés.
Continuant leur progression, mes mains traquent,
Elles sont aphrodisiaques, démoniaques.
La moindre parcelle de mon ventre réagit,
S’enflamme, s’électrise, s’excite.
Mon bassin se soulève dans l’attente,
Il s’énerve, s’impatiente.
Enfin, ma main vient se poser sur mon mont de Vénus,
Telle une libératrice, elle lève le blocus.
Elle cherche, fouille et trouve,
Comme un archéologue, j’approuve.
Mon jardin secret est pris d’assaut,
A chaque caresse, il tressaute.
Déjà la libération se rapproche,
Tel un feu d’artifice, l’explosion est proche.
Doucement je redescends sur terre,
Dans une ambiance inhospitalière,
Pour me souvenir de ton absence.
Mais en toute confidence,
Ce moment de pure douceur,
M’a apporté un grand bonheur.
La maison est triste sans toi et mon lit est froid.
Mon cœur se serre à ton souvenir,
Mon corps se languissant de ton désir.
Allongée dans mon lit, mes pensées volent vers toi,
Nos derniers échanges, nos derniers émois…
En mémoire, me revient notre dernier câlin,
A ce souvenir, une douce chaleur m’étreint.
Seule une bougie éclaire ma chambre,
Illuminant les draps de couleur ambre.
La pénombre est propice à la rêverie,
Cette douce lumière me rappelant mon chéri.
Toi, mon aimé, si loin de moi ce soir,
Et pourtant si proche dans mon isoloir.
Notre dernier câlin envahit ma tête,
Et mon corps se rappelle la scénette.
Une merveilleuse douleur au ventre,
Doucement, se concentre.
Je t’imagine, assis là devant moi,
Assis sur la chaise, tel un roi.
Mes mains commencent leurs caresses,
Pleines de promesses.
Elles frôlent mon visage, mes lèvres,
Ma respiration s’accélère.
Je te vois assis là, à me regarder,
Le spectacle semblant te captiver.
Mes mains poursuivent leur exploration,
Continuent leur perquisition.
Mes doigts tourmentent la pointe de mes seins,
Les caressent, les pincent, les étreints.
Je les sens se durcir sous les effleurements,
Se dressant hauts et fiers tels des conquérants.
Ils réclament ta bouche, ta langue, tes baisers,
Se souvenant de cette volupté d’être sucés.
Continuant leur progression, mes mains traquent,
Elles sont aphrodisiaques, démoniaques.
La moindre parcelle de mon ventre réagit,
S’enflamme, s’électrise, s’excite.
Mon bassin se soulève dans l’attente,
Il s’énerve, s’impatiente.
Enfin, ma main vient se poser sur mon mont de Vénus,
Telle une libératrice, elle lève le blocus.
Elle cherche, fouille et trouve,
Comme un archéologue, j’approuve.
Mon jardin secret est pris d’assaut,
A chaque caresse, il tressaute.
Déjà la libération se rapproche,
Tel un feu d’artifice, l’explosion est proche.
Doucement je redescends sur terre,
Dans une ambiance inhospitalière,
Pour me souvenir de ton absence.
Mais en toute confidence,
Ce moment de pure douceur,
M’a apporté un grand bonheur.