Tes seins de marbre dansaient à la lueur de la lune
Tu m’es apparue un soir de juillet,
ma Douce,
ta longue chevelure de jais pendait
à la misaine de ton corps,
alors que tu cherchais ton chemin.
Les parfums des jardins t’accompagnaient,
ta splendeur éblouissait mon âme,
je te conduisis en ma borde car tu avais faim,
puis je te désignai ma couche,
tu t’endormis aussitôt, épuisée,
je m’installai près de toi, et je pris ta main.
A ton réveil, tu me remercias, tu me souris,
tu effeuillas chacun de mes vêtements que tu jetas à terre,
j’ôtai alors ta robe de lin,
tes bottines, tes bas de soie et ta culotte,
tes seins de marbre dansaient à la lueur de la lune,
tu me couchas sur le dos, ta langue et tes paumes
découvrirent l’urne de mes hanches, et le buisson de mon pertuis,
trois de tes doigts entrèrent
en ma rivière d’amour jusqu’à la grotte de ma matrice,
et renouvelèrent ce charmant exercice à maintes reprises,
bientôt je ne fus plus que braises, cris, gémissements,
et soudain appuyée sur mes talons,
l’encens de la Jouissance me souleva,
je hurlai les spasmes de mon rut,
tandis que jaillissait le lait de ma cyprine
que tu récoltas ma Vénérée.
Tu t’allongeas auprès de moi,
et nous endormîmes, entrelacées,
avec au coeur le solfège de la Passion et de la tendresse !
Sophie Rivière
Tu m’es apparue un soir de juillet,
ma Douce,
ta longue chevelure de jais pendait
à la misaine de ton corps,
alors que tu cherchais ton chemin.
Les parfums des jardins t’accompagnaient,
ta splendeur éblouissait mon âme,
je te conduisis en ma borde car tu avais faim,
puis je te désignai ma couche,
tu t’endormis aussitôt, épuisée,
je m’installai près de toi, et je pris ta main.
A ton réveil, tu me remercias, tu me souris,
tu effeuillas chacun de mes vêtements que tu jetas à terre,
j’ôtai alors ta robe de lin,
tes bottines, tes bas de soie et ta culotte,
tes seins de marbre dansaient à la lueur de la lune,
tu me couchas sur le dos, ta langue et tes paumes
découvrirent l’urne de mes hanches, et le buisson de mon pertuis,
trois de tes doigts entrèrent
en ma rivière d’amour jusqu’à la grotte de ma matrice,
et renouvelèrent ce charmant exercice à maintes reprises,
bientôt je ne fus plus que braises, cris, gémissements,
et soudain appuyée sur mes talons,
l’encens de la Jouissance me souleva,
je hurlai les spasmes de mon rut,
tandis que jaillissait le lait de ma cyprine
que tu récoltas ma Vénérée.
Tu t’allongeas auprès de moi,
et nous endormîmes, entrelacées,
avec au coeur le solfège de la Passion et de la tendresse !
Sophie Rivière