Terribles, les vents d’Yvan.
Qu’ils sont terribles, ces grands vents d’Yvan !
Il vient de faire dix vents sur ce petit divan.
Il y mit de l’odeur, c’était bien décevant,
Tous incommodés, car il était devant.
Il était mal placé, il était sous le vent,
Ce gros ventripotent incommodait les suivants,
Mais continuait de manger tout en se cavant.
Nous l’avons déplacé en le soulevant,
Et le mîmes à l’arrière, bien derrière,
Tous ces vents venaient de son derrière,
Ils leur auraient fallu un beau coupe-vent,
Pour rester avec lui et l’utiliser souvent.
Pour ne plus entendre ses vents sur canapé,
Il faudrait le dresser avec une canne-épée.
Sauf, bien sûr, si tu aimes et que le vent te dit,
Dans ce cas, lui dis-t-on : Attendons vendredi.
Mais ce jour là, il oublia et se levant tard,
Il ne voulu point dresser Yvan le vantard.
Moralité : d’un grand vent d’obèse,
Attendons que les vents s’apaisent.
Qu’ils sont terribles, ces grands vents d’Yvan !
Il vient de faire dix vents sur ce petit divan.
Il y mit de l’odeur, c’était bien décevant,
Tous incommodés, car il était devant.
Il était mal placé, il était sous le vent,
Ce gros ventripotent incommodait les suivants,
Mais continuait de manger tout en se cavant.
Nous l’avons déplacé en le soulevant,
Et le mîmes à l’arrière, bien derrière,
Tous ces vents venaient de son derrière,
Ils leur auraient fallu un beau coupe-vent,
Pour rester avec lui et l’utiliser souvent.
Pour ne plus entendre ses vents sur canapé,
Il faudrait le dresser avec une canne-épée.
Sauf, bien sûr, si tu aimes et que le vent te dit,
Dans ce cas, lui dis-t-on : Attendons vendredi.
Mais ce jour là, il oublia et se levant tard,
Il ne voulu point dresser Yvan le vantard.
Moralité : d’un grand vent d’obèse,
Attendons que les vents s’apaisent.