Terriblement vulnérable …..
Sans ailes pour me fondre sur votre joue
Caresser votre main, en capturer le confort
Violer les monts et les châteaux-forts
M’extraire de ce cauchemar composé de boue
Implorer n’importe qui, mourir jusqu’à la lie
Exister à vos côtés et être encore mon réveil
Ne plus condamner ces nuits où meurt le sommeil
Ces jours creux où la louve altère l’alalie
Gémir, châtier, cogner du pied et sans menotte
Qui peut embrasser l’écho de mon enfer ?
Mère, je m’embaume, j’exhale le somnifère
Le corps griffé de rails qui rendent linotte
Aidez-moi ! Je supplierais une nouvelle histoire
N’importe quel parchemin, j’attesterais
Le devoir de me punir sous le couperet
Humer une dernière fois votre mouchoir
N’éventez pas ma lamentable plainte !
Ces veines arrosées du sang de mes idéaux
Mère ! Élaborez-moi un signe de votre paseo
Sous les persiennes de cet enclos sans teinte
Mère, mère, mère souhaitez-vous ce souffle ?
Dont la mort orgueilleuse vole mes mots
Qu'importe ce loin, d’où je dérive en seule pantoufle
Somnambule, dont le seau plein est sans mémo ….
LILASYS
Sans ailes pour me fondre sur votre joue
Caresser votre main, en capturer le confort
Violer les monts et les châteaux-forts
M’extraire de ce cauchemar composé de boue
Implorer n’importe qui, mourir jusqu’à la lie
Exister à vos côtés et être encore mon réveil
Ne plus condamner ces nuits où meurt le sommeil
Ces jours creux où la louve altère l’alalie
Gémir, châtier, cogner du pied et sans menotte
Qui peut embrasser l’écho de mon enfer ?
Mère, je m’embaume, j’exhale le somnifère
Le corps griffé de rails qui rendent linotte
Aidez-moi ! Je supplierais une nouvelle histoire
N’importe quel parchemin, j’attesterais
Le devoir de me punir sous le couperet
Humer une dernière fois votre mouchoir
N’éventez pas ma lamentable plainte !
Ces veines arrosées du sang de mes idéaux
Mère ! Élaborez-moi un signe de votre paseo
Sous les persiennes de cet enclos sans teinte
Mère, mère, mère souhaitez-vous ce souffle ?
Dont la mort orgueilleuse vole mes mots
Qu'importe ce loin, d’où je dérive en seule pantoufle
Somnambule, dont le seau plein est sans mémo ….
LILASYS