Terre de légendes
Royaumes engloutis, qui dormez sous la mer,
Perdus sous l’océan des siècles innombrables,
Vous m’avez fait rêver à ces âges de pierre,
Royaumes séculaires aux légendes improbables.
Et toi le bel Atlante ?
Platon t-a-t-il rêvé ?
Es-tu réalité,
Ou chimère puissante ?
Et l’empire de Mu,
Est-ce ton autre nom ?
Ton jumeau de renom,
Ou ton reflet perdu ?
Royaumes engloutis, qui dormez sous les sables,
Oui, vous, qui, sur les dunes, édifiez des chimères,
Ces monceaux de décombres aux règnes impalpables,
Ces empires vaincus sur l’autel de la guerre.
Babylone la grande,
Et jusqu’aux cieux ta tour,
Cyrus en un seul jour,
Fit sienne ta légende.
Et toi la belle Egypte,
Et tes tombeaux sacrés,
Rome t’a massacrée,
Ne laissant que tes cryptes.
Empires vénérables endormis sous le ciel,
Au sommet des montagnes ou suivant les vallées,
Vos dessins mystérieux, sur la terre, tracés,
Murailles ou bien cités, en sublime dentelle.
Ô pays souverain,
Aux hectares infinis,
Chine, qui resplendit,
Tu repoussas les Huns.
Et cet Eldorado
Sur le Machu Picchu,
Inscrit sur les Quipus,
Caché derrière les eaux.
Céleste messager, toi, le vent de passage,
Laisse-moi prendre place, avec toi, dans l’azur,
Contempler les trésors, venus du fond des âges,
Et rêver qu’à jamais, l’humanité perdure...
Perdus sous l’océan des siècles innombrables,
Vous m’avez fait rêver à ces âges de pierre,
Royaumes séculaires aux légendes improbables.
Et toi le bel Atlante ?
Platon t-a-t-il rêvé ?
Es-tu réalité,
Ou chimère puissante ?
Et l’empire de Mu,
Est-ce ton autre nom ?
Ton jumeau de renom,
Ou ton reflet perdu ?
Royaumes engloutis, qui dormez sous les sables,
Oui, vous, qui, sur les dunes, édifiez des chimères,
Ces monceaux de décombres aux règnes impalpables,
Ces empires vaincus sur l’autel de la guerre.
Babylone la grande,
Et jusqu’aux cieux ta tour,
Cyrus en un seul jour,
Fit sienne ta légende.
Et toi la belle Egypte,
Et tes tombeaux sacrés,
Rome t’a massacrée,
Ne laissant que tes cryptes.
Empires vénérables endormis sous le ciel,
Au sommet des montagnes ou suivant les vallées,
Vos dessins mystérieux, sur la terre, tracés,
Murailles ou bien cités, en sublime dentelle.
Ô pays souverain,
Aux hectares infinis,
Chine, qui resplendit,
Tu repoussas les Huns.
Et cet Eldorado
Sur le Machu Picchu,
Inscrit sur les Quipus,
Caché derrière les eaux.
Céleste messager, toi, le vent de passage,
Laisse-moi prendre place, avec toi, dans l’azur,
Contempler les trésors, venus du fond des âges,
Et rêver qu’à jamais, l’humanité perdure...