Tendresse féminine
Une aronde plane au-dessus de toi,
ma mie,
et
se pose dans la coupe de tes mains.
Tu accueilles,
ravie et étonnée,
la
la tendresse de ta nouvelle alliée.
Ton regard
ébloui de bonheur
déplie
la penne d’une rime.
Soudain,
ton front rêveur se plisse,
l’écho d’une larme tressaille
au signet d’une souffrance.
Ô mon aimée, ma fée,
dis-moi ton secret,
raconte-moi
le mystère de ton âme :
voici : cet oiseau est semblable
à
l’histoire de ma vie
qui a connu l’effroi et l’hymne de félicité.
Des hommes ont abusé
de mon innocence,
et
n’ont pas hésité à m’humilier, à me frapper.
Ta tendresse et ton amour m’ont prouvé
que
toute Femme doit être respectée, magnifiée,
et qu’elle détient le murmure d’une extase,
car elle seule divulgue
le baiser des charmilles,
quand fuse la ritournelle d’un rossignol
au zénith de l’aurore.
Une aronde plane au-dessus de toi,
ma mie,
et
se pose dans la coupe de tes mains.
Tu accueilles,
ravie et étonnée,
la
la tendresse de ta nouvelle alliée.
Ton regard
ébloui de bonheur
déplie
la penne d’une rime.
Soudain,
ton front rêveur se plisse,
l’écho d’une larme tressaille
au signet d’une souffrance.
Ô mon aimée, ma fée,
dis-moi ton secret,
raconte-moi
le mystère de ton âme :
voici : cet oiseau est semblable
à
l’histoire de ma vie
qui a connu l’effroi et l’hymne de félicité.
Des hommes ont abusé
de mon innocence,
et
n’ont pas hésité à m’humilier, à me frapper.
Ta tendresse et ton amour m’ont prouvé
que
toute Femme doit être respectée, magnifiée,
et qu’elle détient le murmure d’une extase,
car elle seule divulgue
le baiser des charmilles,
quand fuse la ritournelle d’un rossignol
au zénith de l’aurore.
Sophie Rivière