Je republie un vieux texte écrit en hors concours organisé par Lys en 20 mots imposés sur le thème une histoire drôle, pour le plaisir de la saluer de mes tendres pensées, vous avez laissé un vide Lys, un vide jamais comblé.
Il y a à quelques minutes de chez moi, un parc , tout petit, c'est mon petit Versailles, j'adore y aller à toutes les saisons, il y a des oiseaux qui y vivent en volière et en liberté, des paons , des canards et un jardinier au sourire inspirant.
Merveilleuse journée.
Lady Chatterley et le jardinier
J'arrivais en retard, les yeux vers sa femelle
Le paon me démontrait, comme il était fâché
Sur la danse du foin, une paonne en dentelles
Gloussait devant son torse, qu'elle avait déplumé
J'ai souri au passé, de la fête à la roue
La grenouille écroulée, dans la gadoue pleurait
Un nénuphar en larmes, lui caressa la joue
Des illusions perdues, ivre de volupté
Ruisselant décidé, à voler la jupette
Du plus joli visage, de la beauté du parc
Je vis couler deux jambes, derrière une brouette
L'ombre du jardinier, un cupidon de l'arc
Tous les oiseaux du lieu, dormaient dans la volière
L'âne et le chien heureux, ne pensaient plus à rien
Derrière mes lunettes, se jouait la lumière
D'un concerto coquin, en l'air épicurien
Quand s'achève l'été, où l'escabeau se plie
Et que l'automne arrive, avide d'un baiser
Le jardinier malin, entre ses doigts déplie
Ses mains sur un bouquet, pour Lady Chatterley
Paule
18.08.2018
Il y a à quelques minutes de chez moi, un parc , tout petit, c'est mon petit Versailles, j'adore y aller à toutes les saisons, il y a des oiseaux qui y vivent en volière et en liberté, des paons , des canards et un jardinier au sourire inspirant.
Merveilleuse journée.
Lady Chatterley et le jardinier
J'arrivais en retard, les yeux vers sa femelle
Le paon me démontrait, comme il était fâché
Sur la danse du foin, une paonne en dentelles
Gloussait devant son torse, qu'elle avait déplumé
J'ai souri au passé, de la fête à la roue
La grenouille écroulée, dans la gadoue pleurait
Un nénuphar en larmes, lui caressa la joue
Des illusions perdues, ivre de volupté
Ruisselant décidé, à voler la jupette
Du plus joli visage, de la beauté du parc
Je vis couler deux jambes, derrière une brouette
L'ombre du jardinier, un cupidon de l'arc
Tous les oiseaux du lieu, dormaient dans la volière
L'âne et le chien heureux, ne pensaient plus à rien
Derrière mes lunettes, se jouait la lumière
D'un concerto coquin, en l'air épicurien
Quand s'achève l'été, où l'escabeau se plie
Et que l'automne arrive, avide d'un baiser
Le jardinier malin, entre ses doigts déplie
Ses mains sur un bouquet, pour Lady Chatterley
Paule
18.08.2018