Quand les clichés s’entrechoquent, l’espoir s’enfuit,
Apparaît le monstre, là, campe une faucheuse,
Prend quartier le traître, plus de rêves pour lui,
Il n’est plus son maître, la chute est silencieuse.
Quand noir est le nuage, un tueur aux ouvrages
Il n’a que cinquante ans et son billet sous terre
L’échec sans réagir verbes sont bafouillages,
La peur, cette rivale est centrée en paupière.
Quand son corps l’abandonne, la mort est question
Dernier refuge, répond, céder à l’envie !
Pas plus jolie mais la clarté est condition,
Il veut, il doit rester commandant de sa vie.
Quand le spectre s’éloigne, il prie tels sont usages,
Il se bat pour les autres et partage sa force,
Son courage, témoin des mots dans les sillages,
Des victimes que haine sociale renforce.
Quand la valeur humaine se joint à la sienne,
Il dit qu’il a gagné à ne baisser les bras
Et de revendiquer l’atout chance en advienne
Dans un effort commun, le monde grandira.
Apparaît le monstre, là, campe une faucheuse,
Prend quartier le traître, plus de rêves pour lui,
Il n’est plus son maître, la chute est silencieuse.
Quand noir est le nuage, un tueur aux ouvrages
Il n’a que cinquante ans et son billet sous terre
L’échec sans réagir verbes sont bafouillages,
La peur, cette rivale est centrée en paupière.
Quand son corps l’abandonne, la mort est question
Dernier refuge, répond, céder à l’envie !
Pas plus jolie mais la clarté est condition,
Il veut, il doit rester commandant de sa vie.
Quand le spectre s’éloigne, il prie tels sont usages,
Il se bat pour les autres et partage sa force,
Son courage, témoin des mots dans les sillages,
Des victimes que haine sociale renforce.
Quand la valeur humaine se joint à la sienne,
Il dit qu’il a gagné à ne baisser les bras
Et de revendiquer l’atout chance en advienne
Dans un effort commun, le monde grandira.