Te souviens-tu ?
Te souviens-tu des matins.
Un rêve nous bouscule soudain.
Je traverse une rivière,
sur le dos d’une sirène.
Te souviens-tu des matins.
Un enfant se lève orphelin.
Seul devant la plaque tombale,
le monde autour est cannibale.
Tu souviens-tu des matins.
D’une larme qui sèche seule,
tombant sur le bois du cercueil.
Ma main se perd en tes cheveux satins.
Loïc ROUSSELOT
Te souviens-tu des matins.
Un rêve nous bouscule soudain.
Je traverse une rivière,
sur le dos d’une sirène.
Te souviens-tu des matins.
Un enfant se lève orphelin.
Seul devant la plaque tombale,
le monde autour est cannibale.
Tu souviens-tu des matins.
D’une larme qui sèche seule,
tombant sur le bois du cercueil.
Ma main se perd en tes cheveux satins.
Loïc ROUSSELOT