Sur les rails du destin
Quand le soleil poudroie des rayons sur mon âme
Que la nuit prend mes jours, habitant mon espace
Fait éclore mon cœur, au couchant qui m’enlace
Et font pleurer mes yeux sur l’azur qui s’enflamme.
Quand au chevet de l’aube, que la nuit se pose
Une frêle clarté orne mes yeux d’ébène
J’entends son bruit de pas sur la mousse d’éden
Cheminant sur mon pas, une rose il dépose,
Au satin de ma peau, effeuillant les pétales
Émanant de sa main parsemée de tendresse
Aux fils des canevas tissés de ses caresses
Au gré d’un vent d’amour, aux lueurs vespérales.
Quand ma chevelure, étalée sur sa paupière
Que son regard lavande, aux reflets irisés,
Erre sur les courbes de ma peau dénudée
Scintille en mon sillage empourpré de lumière.
Alors le portail s’ouvre, et se joignent nos mains
Seul le vent nous porte dans la nue qui voyage
Chacun de nos soupirs échouent sur les nuages
Dans un convoi d’amour, vers les rails du destin.
Katy-Ann
Quand le soleil poudroie des rayons sur mon âme
Que la nuit prend mes jours, habitant mon espace
Fait éclore mon cœur, au couchant qui m’enlace
Et font pleurer mes yeux sur l’azur qui s’enflamme.
Quand au chevet de l’aube, que la nuit se pose
Une frêle clarté orne mes yeux d’ébène
J’entends son bruit de pas sur la mousse d’éden
Cheminant sur mon pas, une rose il dépose,
Au satin de ma peau, effeuillant les pétales
Émanant de sa main parsemée de tendresse
Aux fils des canevas tissés de ses caresses
Au gré d’un vent d’amour, aux lueurs vespérales.
Quand ma chevelure, étalée sur sa paupière
Que son regard lavande, aux reflets irisés,
Erre sur les courbes de ma peau dénudée
Scintille en mon sillage empourpré de lumière.
Alors le portail s’ouvre, et se joignent nos mains
Seul le vent nous porte dans la nue qui voyage
Chacun de nos soupirs échouent sur les nuages
Dans un convoi d’amour, vers les rails du destin.
Katy-Ann