Suite à une discussion sur les rimes en « é » et farfouillant sur les sites de poésie parcourant les règles de la poésie classique « dont je ne suis pas le noble représentant » j'ai lu certain points qui m'ont laissés dubitatif « interdit les rimes en « ique » trop nombreuses ? Le poète se doit de trouver les rimes plus rares serte mais alors si l'on utilisent que des mots avec peut de rimes possibles on fini par reproduire les mêmes rimes et je trouve dommage de ne pas pouvoir utiliser tous les mots de notre vocabulaire pareil on se doit d'éviter les sons dures et les termes en « que » « bien que » « parce que » etc aussi de faire rimer amour avec toujours trop facile je peux comprendre mais l'amour reste l'amour, et toutes les règles de construction des vers, le comptage des pieds, les mots en diérèse ou en synérèse etc, les rimes féminines ou masculines etc, autan de freins à la création et à l'imagination peut être ? au nom d'une harmonie du beau ? Il y a pourtant de beaux textes en poésie libre, et personne ne détient la vérité sur l'Art, Picasso et bien d'autre alors ne serai jamais rentré aux musées l'Art n'est pas que académique,
si parfois je reste quoi devant toutes ces règle, je ne crache pas dessus chacun est libre de composer comme bon lui semble mais je me dis pas facile d'exprimer une idée et garder un sens cohérent à un textes si l'on veux appliquer toutes ces règles,
suite à cette discussion un texte commencé comme une petite chanson m'était venu en toute liberté,
il était naturel qu'il soit en vers libre mais pour être totalement partiel et parce que je me dit poète et aussi que j'aime bien me casser la tête j'ai pour donner le change essayé car vous l'avez compris, je ne suis pas un pro en ce domaine d'écrire un poème en essayant d'appliquer quelques unes de ces nombreuses règles, nb de pieds, césure, alternance des rimes féminine et masculine... en espérant toutes fois de ne pas avoir commis trop d’erreurs
a vous de juger si le premier et plus chantant et original, si le deuxième est plus expressif ou non
1- poètes je vous fait la nique, (poésie libre )
Sont interdit les sons en « ique » ,
Moi ça me coupe la chique,
Au vent mauvais de la poétique,
Ô grand poète je vous fait la nique,
Rien d'étonnant aux sombres jours,
On ne peut rimer amour avec toujours,
Qu'à mes tristes oreilles sonne le tambour,
Suivrai-je ? Bien les flèches au prochain carrefour,
Si derrière la haie je suis bien né,
pour me rebeller je vous fait un pieds de nez,
A tous les sons en « é » qu'il faut différencier,
De compter les pieds déjà la ça me scier,
A l'école mixte moi je suis allé,
Dans la cours nos rires et nos baisés s'entremêlaient,
En rimes masculines et féminines bien salés,
Ho ! Vous qui comptiez sur la poésie pour vous consoler,
A tout les censeurs qui vous jugent à la césure,
je n'ai pas de « maitre » pour en prendre la mesure,
Comme avec la diérèse et la synérèse,
Comment dois-je en écrire le mot niaise ?
A moins que, à la queue le leu, elle ai vu le loup,
Il se pourrait bien que, l'on prépare un mauvais coup,
Parce que le monde est fou, fou fou, voyez vous,
Qu'on se tue turlututu à écrire des mots doux, doudou
si parfois je reste quoi devant toutes ces règle, je ne crache pas dessus chacun est libre de composer comme bon lui semble mais je me dis pas facile d'exprimer une idée et garder un sens cohérent à un textes si l'on veux appliquer toutes ces règles,
suite à cette discussion un texte commencé comme une petite chanson m'était venu en toute liberté,
il était naturel qu'il soit en vers libre mais pour être totalement partiel et parce que je me dit poète et aussi que j'aime bien me casser la tête j'ai pour donner le change essayé car vous l'avez compris, je ne suis pas un pro en ce domaine d'écrire un poème en essayant d'appliquer quelques unes de ces nombreuses règles, nb de pieds, césure, alternance des rimes féminine et masculine... en espérant toutes fois de ne pas avoir commis trop d’erreurs
a vous de juger si le premier et plus chantant et original, si le deuxième est plus expressif ou non
1- poètes je vous fait la nique, (poésie libre )
Sont interdit les sons en « ique » ,
Moi ça me coupe la chique,
Au vent mauvais de la poétique,
Ô grand poète je vous fait la nique,
Rien d'étonnant aux sombres jours,
On ne peut rimer amour avec toujours,
Qu'à mes tristes oreilles sonne le tambour,
Suivrai-je ? Bien les flèches au prochain carrefour,
Si derrière la haie je suis bien né,
pour me rebeller je vous fait un pieds de nez,
A tous les sons en « é » qu'il faut différencier,
De compter les pieds déjà la ça me scier,
A l'école mixte moi je suis allé,
Dans la cours nos rires et nos baisés s'entremêlaient,
En rimes masculines et féminines bien salés,
Ho ! Vous qui comptiez sur la poésie pour vous consoler,
A tout les censeurs qui vous jugent à la césure,
je n'ai pas de « maitre » pour en prendre la mesure,
Comme avec la diérèse et la synérèse,
Comment dois-je en écrire le mot niaise ?
A moins que, à la queue le leu, elle ai vu le loup,
Il se pourrait bien que, l'on prépare un mauvais coup,
Parce que le monde est fou, fou fou, voyez vous,
Qu'on se tue turlututu à écrire des mots doux, doudou
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