*Sur les ailes de la Mélancolie*
Quand le crépuscule s’éteint sur mon chemin
Que chaque nuit éclos un infini chagrin
Je deviens un ruisseau, une rivière, un lac
La vague me secoue surgit tel un ressac.
Du clapotis des eaux sur la rive échouée
Je n’ai trouvé nul nid ! Ne faisant qu'ajouter,
Duvet à ma couche, pour que vive mon âme
En sanglotant d’espoir d’une brindille en flamme.
Cette ombre me poursuit, apparait et m’enlace
Traverse mon esprit un instant, et s’efface
Perdue dans le vide habitée de noirceur
Git dans les abysses aux confins de mes leurres.
Et quand tinte l’heure, au berceau de mes nuits
Le poids de ma peine se déchaine et rugit
Au profond de mon âme, à l’instant espéré
Recueillant dans mes bras l’aurore édulcorée.
L’aube dans un brouillard, donne place au soleil
Couché sur ma prunelle, embaume mes réveils
Espérant que m’emporte un vent de liberté !
Balayant de mon corps ces ailes écharpées.
Quand le crépuscule s’éteint sur mon chemin
Que chaque nuit éclos un infini chagrin
Je deviens un ruisseau, une rivière, un lac
La vague me secoue surgit tel un ressac.
Du clapotis des eaux sur la rive échouée
Je n’ai trouvé nul nid ! Ne faisant qu'ajouter,
Duvet à ma couche, pour que vive mon âme
En sanglotant d’espoir d’une brindille en flamme.
Cette ombre me poursuit, apparait et m’enlace
Traverse mon esprit un instant, et s’efface
Perdue dans le vide habitée de noirceur
Git dans les abysses aux confins de mes leurres.
Et quand tinte l’heure, au berceau de mes nuits
Le poids de ma peine se déchaine et rugit
Au profond de mon âme, à l’instant espéré
Recueillant dans mes bras l’aurore édulcorée.
L’aube dans un brouillard, donne place au soleil
Couché sur ma prunelle, embaume mes réveils
Espérant que m’emporte un vent de liberté !
Balayant de mon corps ces ailes écharpées.