C’est sur le fil doré des pensées,
Que j’ai trouvé la liberté,
Dans la lumière qui se dérobe
Le long des ruissellements clairs des heures,
Sur le lit des matins de l’abondance,
Le long des chemins fleuris des corolles,
Ces couleurs où se mêle l’aube au crépuscule,
Sur la Cime mystérieuse des cieux siégeant au vent,
Sous l’horizon d’or de mes pensées ;
Elle est l’eau précieuse qui coule tel du cristal
Scintillement de mille feux à la lumière de mon cœur,
Ciselant mes journées tel un diamant,
Sous la douceur de son apparence,
Sous les couleurs vives de la vie.
Coule la pluie douce et soyeuse
Dans les sillons de mon cœur,
Afin d’y déposer l’amour dans les cases vides de ma vie,
Elle est ma terre nourricière, le soleil, la lune qui fait fleurir mes mots,
Cet ange qui souffle sur mes maux,
Offrant à mon corps les fruits divins de sa demeure,
Le long des vallées des cris de joies.
Je serai tel un maçon, un charpentier, taillant la pierre
Façonnant l’arche étoilée des voûtes célestes
Qui borderont mes sommeils.
Je couronnerai sa tête de toutes les étoiles,
Offrant aux cieux l’espace de mes yeux,
Enveloppant l’espérance sur le voile brumeux de l’encens,
Éclairant les lacs, les cieux les océans
A la lumière de mon cœur.
Je serai le témoin insolant des silences
Des joies, sculptant ma vie sur la magie des rêves,
Où coule le sable du temps le temps d’un bonheur.
Je ne serai point différent des autres
Sur un cœur qui bat.
J’offrirai de mes mains les richesses
Le bonheur aux lèvres,
Lié au cortège trinitaire de mes vœux
Au centre de la lumière.
Tombe la main douce sur mon visage,
Balayant les vents et mes pleurs,
Dans le cloître de mes pensées,
Où rester confiné l’écume de mes yeux.
Je consumerai les fièvres, mes angoisses,
Élargissant les portes de mon cœur
Sur les feuillages brillants de la lumière,
Caché dans les arbres du jardin des anges,
Les refermant sans retour sur un été éternel,
Franchissant les larges océans restés immobiles,
M’accrochant au dernier soupir sa bouche.
Amant brûlant buvant dans les yeux du souvenir.
N’étais-je qu’un rêve aux prunelles absentes,
Qui prend pas à pas les couleurs de l’été
Dans le bleu de mes yeux,
Là où rien ne peut finir.
C’est sur ton épaule,
Que rougiront les étoiles de lumière,
Le langage clair sur l’éveil des heures,
Où coule l’eau limpide
Dans les reflets du soleil,
Loin de l’arche des miroirs orageux.
Je ne saurai plus dormir sans toi
Au chevet de mes nuits.
Le monde deviendrait sourd et monotone,
De saveur obscure, l’eau deviendrait amère
Sur un ciel criant au feu dans l’ombre de l’absence,
Sur le sol dallé de mes nuits.
Là où je périrai sur le lait ténébreux
De la symphonie des larmes.
L.Deléglise
Que j’ai trouvé la liberté,
Dans la lumière qui se dérobe
Le long des ruissellements clairs des heures,
Sur le lit des matins de l’abondance,
Le long des chemins fleuris des corolles,
Ces couleurs où se mêle l’aube au crépuscule,
Sur la Cime mystérieuse des cieux siégeant au vent,
Sous l’horizon d’or de mes pensées ;
Elle est l’eau précieuse qui coule tel du cristal
Scintillement de mille feux à la lumière de mon cœur,
Ciselant mes journées tel un diamant,
Sous la douceur de son apparence,
Sous les couleurs vives de la vie.
Coule la pluie douce et soyeuse
Dans les sillons de mon cœur,
Afin d’y déposer l’amour dans les cases vides de ma vie,
Elle est ma terre nourricière, le soleil, la lune qui fait fleurir mes mots,
Cet ange qui souffle sur mes maux,
Offrant à mon corps les fruits divins de sa demeure,
Le long des vallées des cris de joies.
Je serai tel un maçon, un charpentier, taillant la pierre
Façonnant l’arche étoilée des voûtes célestes
Qui borderont mes sommeils.
Je couronnerai sa tête de toutes les étoiles,
Offrant aux cieux l’espace de mes yeux,
Enveloppant l’espérance sur le voile brumeux de l’encens,
Éclairant les lacs, les cieux les océans
A la lumière de mon cœur.
Je serai le témoin insolant des silences
Des joies, sculptant ma vie sur la magie des rêves,
Où coule le sable du temps le temps d’un bonheur.
Je ne serai point différent des autres
Sur un cœur qui bat.
J’offrirai de mes mains les richesses
Le bonheur aux lèvres,
Lié au cortège trinitaire de mes vœux
Au centre de la lumière.
Tombe la main douce sur mon visage,
Balayant les vents et mes pleurs,
Dans le cloître de mes pensées,
Où rester confiné l’écume de mes yeux.
Je consumerai les fièvres, mes angoisses,
Élargissant les portes de mon cœur
Sur les feuillages brillants de la lumière,
Caché dans les arbres du jardin des anges,
Les refermant sans retour sur un été éternel,
Franchissant les larges océans restés immobiles,
M’accrochant au dernier soupir sa bouche.
Amant brûlant buvant dans les yeux du souvenir.
N’étais-je qu’un rêve aux prunelles absentes,
Qui prend pas à pas les couleurs de l’été
Dans le bleu de mes yeux,
Là où rien ne peut finir.
C’est sur ton épaule,
Que rougiront les étoiles de lumière,
Le langage clair sur l’éveil des heures,
Où coule l’eau limpide
Dans les reflets du soleil,
Loin de l’arche des miroirs orageux.
Je ne saurai plus dormir sans toi
Au chevet de mes nuits.
Le monde deviendrait sourd et monotone,
De saveur obscure, l’eau deviendrait amère
Sur un ciel criant au feu dans l’ombre de l’absence,
Sur le sol dallé de mes nuits.
Là où je périrai sur le lait ténébreux
De la symphonie des larmes.
L.Deléglise