Et moi qui n’ai jamais connu l’amour
Qui voudrai si simplement fouler les rayons du soleil
Et rendre fou les astres de l’univers
Surpasser cette chaleur insuffisante pour mon cœur
Un regard vers le soleil réchauffe le vertige glacial de mon corps
Il n’est qu’une direction vers un songe supraluminique
Mon cœur transcende la portée de ma rétine
et aspire à mouvoir vers ce réconfort
je cherche si souvent ces images qui idéalisent nos sentiments
qu’elles se dépeignent entre elles et décolore nos émois
je cherche des proses se réclamant des affres apostasiques
désirant le repos accalmique des tribulations de la foi
les messages oculaires trompent nos ressentis
et témoignent à l’intérieur d’impulsives idylles
ils nous éloignent fragilement des encres de notre ame enfouies
et soporifisent l’éperduement des amours de nos vies
Qui voudrai si simplement fouler les rayons du soleil
Et rendre fou les astres de l’univers
Surpasser cette chaleur insuffisante pour mon cœur
Un regard vers le soleil réchauffe le vertige glacial de mon corps
Il n’est qu’une direction vers un songe supraluminique
Mon cœur transcende la portée de ma rétine
et aspire à mouvoir vers ce réconfort
je cherche si souvent ces images qui idéalisent nos sentiments
qu’elles se dépeignent entre elles et décolore nos émois
je cherche des proses se réclamant des affres apostasiques
désirant le repos accalmique des tribulations de la foi
les messages oculaires trompent nos ressentis
et témoignent à l’intérieur d’impulsives idylles
ils nous éloignent fragilement des encres de notre ame enfouies
et soporifisent l’éperduement des amours de nos vies