À la barre de ma vie,
J'appelle la tristesse,
Présente toute ma jeunesse,
Je la condamne sans sursit.
Mes cigarettes ne filtres mes douleurs,
Drogue; stupeur,
Les philtres eux même ne peuvent me guérir,
Mon âme voguante part ainsi à la dérive.
Voyageant entre les âges,
Visitant les parcelles de ma matière grise,
A l'arrivée d'un futur naufrage,
Je m'alcoolise.
J'appelle la tristesse,
Présente toute ma jeunesse,
Je la condamne sans sursit.
Mes cigarettes ne filtres mes douleurs,
Drogue; stupeur,
Les philtres eux même ne peuvent me guérir,
Mon âme voguante part ainsi à la dérive.
Voyageant entre les âges,
Visitant les parcelles de ma matière grise,
A l'arrivée d'un futur naufrage,
Je m'alcoolise.