Suite de mes aventures à la clinique Font Redonde au tout début des années soixante
Quand le curé est là, la sœur n’est pas loin!.
Je remercie Marie Claude, de m’avoir rappelé les noms des sœurs de la clinique vers fin des années cinquante et au début des années soixante!.
L’infirmière en activité avait pour prénom Denise, et après presque deux mois de piqûres intraveineuses elle n’arrivait plus à me trouver la veine…c’était ses mots!…on a de la veine ou pas!.
C’était alors au tour de la sœur mère qui sans délicatesse venait me planter le dard sauveur dans le creux d’un des deux avant bras.
Oui mais voilà, n’étant pas insensible à la douleur après de nombreux essais infructueux, je n’avais qu’un recours celui de me barricader dans ma chambre!. J’allais aussi me réfugier dans celle de Louise à qui je faisais pleinement confiance, mais qui finissait toujours par me convaincre!…c’était paraît il, pour mon bien!.
Pour mon très grand bien même, car vous aurez du mal à me croire, je n’ai pas consulté un docteur plus de dix fois dans ma vie depuis mon séjour à Font Redonde.
Mais revenons au sous-sol de la clinique. Un curé vivait là, presque enterré dans une chambre équipée d’un téléviseur!. Il n’en fallu pas plus pour me convaincre que la spiritualité avait quelque chose d’attrayant ou de bon!.
Aussi, tout au début de mon long séjour j’ai demandé à l’homme cavé, si je pouvais regarder cet objet magique pour l’époque!. Il accepta ma demande, cependant rapidement j’ai compris que certains films ou émissions ne pouvaient pas être soumis au regard d’un jeune enfant!.
Le carré blanc allait devenir très rapidement ma bête noire!.
Cependant, il en faut bien plus pour décourager un esprit volontaire et croyant!.
Suite au refus catégorique de l’homme en noir, je me suis dirigé d’instinct, vers la chambre de Louise, je savais qu’elle détenait aussi cette boîte miraculeuse!.
Elle accepta après une brève explication, de laisser mes yeux se poser sur l’écran aux images animées non autorisées aux âmes fragiles.
Malgré une montée au créneau des religieux de l’établissement, Louise Boyer a fait valoir son autorité Maurice, pourrait regarder sans restriction chez elle l’ensemble du programme. Ainsi, j’ai pu sans arrières pensées voir les films où souvent son fils Charles jouait, avec ou sans carré blanc!.
C’est dans ces conditions idéales que j’ai vraiment connu la maman du prince des acteurs d’Hollywood, je remercie les religieux aujourd’hui de m’avoir en quelque sorte introduit non pas dans les ordres, mais dans l’anti chambre du cinéma aux actrices et acteurs aux postures osées pour l’époque, tout en sachant vous le savez bien que tout cela fini par conduire inévitablement au désordre!.
Ils ont aussi contribué à une rencontre inoubliable entre un très jeune enfant, et une mamie au cœur d’or, nantie d’un esprit saint bien en avance pour son temps.
Quand le curé est là, la sœur n’est pas loin!.
Je remercie Marie Claude, de m’avoir rappelé les noms des sœurs de la clinique vers fin des années cinquante et au début des années soixante!.
L’infirmière en activité avait pour prénom Denise, et après presque deux mois de piqûres intraveineuses elle n’arrivait plus à me trouver la veine…c’était ses mots!…on a de la veine ou pas!.
C’était alors au tour de la sœur mère qui sans délicatesse venait me planter le dard sauveur dans le creux d’un des deux avant bras.
Oui mais voilà, n’étant pas insensible à la douleur après de nombreux essais infructueux, je n’avais qu’un recours celui de me barricader dans ma chambre!. J’allais aussi me réfugier dans celle de Louise à qui je faisais pleinement confiance, mais qui finissait toujours par me convaincre!…c’était paraît il, pour mon bien!.
Pour mon très grand bien même, car vous aurez du mal à me croire, je n’ai pas consulté un docteur plus de dix fois dans ma vie depuis mon séjour à Font Redonde.
Mais revenons au sous-sol de la clinique. Un curé vivait là, presque enterré dans une chambre équipée d’un téléviseur!. Il n’en fallu pas plus pour me convaincre que la spiritualité avait quelque chose d’attrayant ou de bon!.
Aussi, tout au début de mon long séjour j’ai demandé à l’homme cavé, si je pouvais regarder cet objet magique pour l’époque!. Il accepta ma demande, cependant rapidement j’ai compris que certains films ou émissions ne pouvaient pas être soumis au regard d’un jeune enfant!.
Le carré blanc allait devenir très rapidement ma bête noire!.
Cependant, il en faut bien plus pour décourager un esprit volontaire et croyant!.
Suite au refus catégorique de l’homme en noir, je me suis dirigé d’instinct, vers la chambre de Louise, je savais qu’elle détenait aussi cette boîte miraculeuse!.
Elle accepta après une brève explication, de laisser mes yeux se poser sur l’écran aux images animées non autorisées aux âmes fragiles.
Malgré une montée au créneau des religieux de l’établissement, Louise Boyer a fait valoir son autorité Maurice, pourrait regarder sans restriction chez elle l’ensemble du programme. Ainsi, j’ai pu sans arrières pensées voir les films où souvent son fils Charles jouait, avec ou sans carré blanc!.
C’est dans ces conditions idéales que j’ai vraiment connu la maman du prince des acteurs d’Hollywood, je remercie les religieux aujourd’hui de m’avoir en quelque sorte introduit non pas dans les ordres, mais dans l’anti chambre du cinéma aux actrices et acteurs aux postures osées pour l’époque, tout en sachant vous le savez bien que tout cela fini par conduire inévitablement au désordre!.
Ils ont aussi contribué à une rencontre inoubliable entre un très jeune enfant, et une mamie au cœur d’or, nantie d’un esprit saint bien en avance pour son temps.