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suicide social (version covid)

Matthale

Webmaster
Membre du personnel
#1
Aujourd'hui, j'ai compris vos envies, vos déviances,
La dernière fois que je l'ai su a tué mon adolescence,
J'ai longtemps évité de mettre face à face la France,
Ça m'apparait maintenant comme une évidence,


Fini le liberticide, vous êtes avides,
Finies la mort, la vie de vos carotides,
Je ne ferais plus rien à part vous casser les pattes,
J'irais au bout des choses pour qu'on vous cravatent,
Adieu les blaireaux du gouvernement et vos tunes à compter,
Si tu pouvais te vacciner pour ne plus exister,


Ça nous éviteraient d'aller marcher pour te conspuer,
Comme la grippe et l'hiver font partie de la vie, c'est,
Adieu, les petits députés qui doivent nous représenter,
Qui se battent à l'Assemblée comme dans une cour de récré,


Les assistants, les secrétaires, trop nombreux pour en parler,
Trop attachés à leur blé, à leur poste enraciné, y'a plus de vérité
Adieu les laboratoires stériles,
Adieu, tous leurs patrons débiles et leurs vies de séniles,


Adieu, les espoirs de nos fils, nos filles pour enfin exister,
Devant vos mange-morts d'enfants qui veulent tout exploiter,
Adieu, nos espoirs d'égalité, votre invention morbide va tout exploser,
Vous avez allumez un feu, on va vous carboniser,


Ils font leur vie dans leur palais, nos vies sont séquestrées,
Jouent les gens qui ne savaient rien, alors qu'ils savaient,
Tous ces fils de quelqu'un, ces fils d'une pute snob,
Qui partagent les trois quarts des richesses du globe,


Adieu, cette minorité, se croyant indispensable, juste bonne à sabler,
Qui vendraient leurs mères et viennent nous le reprocher,
Adieu, les prolétaires et la fin du marché,
C'est la loi du Talion Macron, t'es bon qu'à te faire virer,
Ça t'empêchera pas de sauter le premier gominé,
Mais toi tu vas sauter, tu finiras mal coiffé,


Adieu, tes campagnes présidentielles, de candidats évincés,
Proches de l'absolution mais qui ne l'auront jamais,
Comme ta vieille qui te couvre alors que tu es gay,
t'es un radin, t'es une catin sur l'économie plébiscitée,


Adieu, l'immunité collective, j'vais t'en donner moi de l'inclusive,
Profondément stupide, cupide et surtout intrusive,
Tu n'es qu'un débile de plus et c'est ma missive,
Plus personne à besoin de vous, attends, on arrive,


Adieu, vos égos, vos parures, je paierais pas pour vos reliques,
On vous cassera à coup de mots et sinon avec des briques,
Car dans votre galaxie, on est tous des oubliés,
Dans la télé, dans la musique, on est stéréotypés,
Nait dans la matrice, croyant la gloire à capitaliser,


Vaguement éduqués, cela grâce à votre argent,
Des copies qui pensent tout savoir, mais vraiment ?
Vous nous regardez tous d'un air méprisant,
Adieu, les solistes qui croient encore que l'on sera présents,


Ils n'ont plus d'idéaux, un idéal seulement,
Accueillants, sois disant, ils t'emmerdent en souriant,
tu peux le voir à leur façon d'être condescendants,
Adieu, ces nouveaux riches, ces utopistes pédants,


Qui justifient leur vie de merde par des idéaux racistes,
Et qui demain viendront pleurer pour être en tête de liste,
Adieu, tous ces singes de primaires, qui méritent juste qu'on les fistent,
Et vous croyez que l'on devrait être défaitistes ?


Quand dans vos assemblées vous vous bouffez sur le pouce,
Vous prenez même de la prison, mais pourvu qu'elle soit douce,
Vous entubez tous vos copains, tonton pourquoi tu tousses ?
Adieu, les jeunes Macroniens, c'est possible que ce soit les pires de tous,


Les profs sont trop occupés pour pouvoir éduquer l'enfance,
Adieu, crevards de la finance, vous vous croyez des rois, puant le rance,
Passant moins de temps à chercher des solutions qu'à être dans l'outrance,
Qui fouettent de peur, quand on amène des turbulences,


Regarde moi bien car je n'aurais jamais peur de ta souffrance,
Adieu tout ce que tu pensais, t'es un con dépassé par les doléances,
Quand tu vas ramasser, je serais aux premières loges, de ton errance,
Adieu, Brigitte dommage je l'aimais bien, et tes conneries sont sa première fragrance,


Prête à gober la merde qu'on lui jette entre les dents,
Qui pose pas de question tant qu’elle consomme,
Qui s'étonne même plus de se faire tromper par son homme,
Adieu, tes idées d'omniscient, un naze qui se prend pour un prétendant,


Tu n'as plus rien d'un homme, tu es un compte en banque,
Mais à la banque du sperme, tu es le premier branque,
C'est à celui qui montrera le plus que rien ne manque,
Désormais tes avis font penser à un très vieux tank,


Adieu, la solution finale, devenir un cobaye de laboratoire,
Votre liberté, je vous la fait bouffer au premier giratoire,
Tellement imbues de votre personnalité, plus rien à croire,
Adieu, mon pays et tous ses espoirs, qui ont fondus tel un suppositoire,


Comme à Venise, attraction pour touristes, mais il n'y en a pas,
L'eau est bleue et il y a des poissons vivants, depuis le corona,
Avec vos boutiques de merde qui servent à rien sauf vomir,
Qui font exprès d’ouvrir à des heures où personne peut v’nir,


A peu près le même QI que ces abrutis de flics,
Adieu les sectaires, les nombrilistes et le mondialisme,
Le système est perverti, d'où la pandémie, le fric,
Qui va tuer l'humanité et c'est un euphémisme,


Ceux qui croient pouvoir me dire comment vivre heureux,
Adieu, la version PMU, le monde fait semblant, mais rien ne va mieux,
Adieu les nuls de l'internet, créant des sites pour arnaquer les neuneus,
Qui prétendent croire au futur alors qu'ils sont tous vieux,


Adieu, ceux qui ne comprennent rien, le temps les oubliera en chemin,
J’comprends que j’ai rien à faire ici quand je regarde la 1,
Adieu les hippies, les Joséphine ange gardien,
Adieu, tous les artistes qui croient en un demain,
De banalités dépassés par des bouseux bien trop malsains,


Adieu, les épiceries et le péri urbain, le monopole est dans un palais,
Adieu, la culture, la bonne nourriture, les soirées, c'est fini désormais,
Adieu, la vérité, la santé, l'humanité, les libertés, reste l'euthanasie,

Pour ces petits chanteurs à la parole en bois, qui croient encore à l'eucharistie.
 
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Polymnie2

Maître Poète
#2
Quand un sourd cil s'élève
on a un cil en cieux de rêve!!!!!!!
Quel pas science de A jusqu'à z
c'est ce que l'on appelle
gober un œuf à la vitesse
grand V fait de vérités!
L'humour embrase de l'amour!

Merci à toi, amitiés, Poly
 
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