Sous le dais des étoiles, l'amour fait son entrée,
Il se pavane, se vante, mais trébuche sur une pensée.
Il est nu, ce gredin, dévoilant ses défauts,
Un rire étouffé s'élève, la nuit se pare d'un nouveau manteau.
Tu ris, je ris, dans ce bal des maladroits,
Et nos corps s'entrelacent, sur une musique hors des lois.
Tes lèvres cherchent les miennes, mais trouvent mon nez,
Ah! Quelle délicieuse absurdité, quelle hilarante soirée.
Je dévoile ton corps, un éden enchanté,
Mais ô surprise! Mon pied est coincé dans ton soutien-gorge étriqué.
Rires et baisers se mêlent, dans notre danse désarticulée,
Et dans ce chaos sensuel, l'amour est démasqué.
Tu me souffles des mots doux, en murmurant à mon oreille,
Mais ton haleine à l'ail, oh, quelle merveille!
Je te réponds, riant, un clin d'oeil complice,
Et c'est dans ce théâtre de l'absurde, que nos sens se délectent.
Et dans nos corps enlacés, la passion monte, monte,
Au rythme de nos fou-rires, une symphonie qui détonne.
Nos soupirs sont des rires, nos caresses sont des chatouilles,
Et la nuit, cette spectatrice, rit aux éclats, aux creux des feuilles.
Là, entre deux éclats de rire, je perds mon dernier rempart,
Et comme un enfant, tu ris de mon drôle de hasard.
Mais dans ce vaudeville sensuel, rien ne nous importe,
Car l'amour est une farce, qui rit même quand on en perd le contrôle.
La nuit s'achève, nos rires s'éteignent,
Mais dans le souvenir de cette danse, un sourire demeure, se peint.
L'érotisme est un jeu, un théâtre d'imprévus,
Et c'est dans le rire et l'amour, que nous avons découvert le plus précieux.
Il se pavane, se vante, mais trébuche sur une pensée.
Il est nu, ce gredin, dévoilant ses défauts,
Un rire étouffé s'élève, la nuit se pare d'un nouveau manteau.
Tu ris, je ris, dans ce bal des maladroits,
Et nos corps s'entrelacent, sur une musique hors des lois.
Tes lèvres cherchent les miennes, mais trouvent mon nez,
Ah! Quelle délicieuse absurdité, quelle hilarante soirée.
Je dévoile ton corps, un éden enchanté,
Mais ô surprise! Mon pied est coincé dans ton soutien-gorge étriqué.
Rires et baisers se mêlent, dans notre danse désarticulée,
Et dans ce chaos sensuel, l'amour est démasqué.
Tu me souffles des mots doux, en murmurant à mon oreille,
Mais ton haleine à l'ail, oh, quelle merveille!
Je te réponds, riant, un clin d'oeil complice,
Et c'est dans ce théâtre de l'absurde, que nos sens se délectent.
Et dans nos corps enlacés, la passion monte, monte,
Au rythme de nos fou-rires, une symphonie qui détonne.
Nos soupirs sont des rires, nos caresses sont des chatouilles,
Et la nuit, cette spectatrice, rit aux éclats, aux creux des feuilles.
Là, entre deux éclats de rire, je perds mon dernier rempart,
Et comme un enfant, tu ris de mon drôle de hasard.
Mais dans ce vaudeville sensuel, rien ne nous importe,
Car l'amour est une farce, qui rit même quand on en perd le contrôle.
La nuit s'achève, nos rires s'éteignent,
Mais dans le souvenir de cette danse, un sourire demeure, se peint.
L'érotisme est un jeu, un théâtre d'imprévus,
Et c'est dans le rire et l'amour, que nous avons découvert le plus précieux.