Dans une rue sordide,
Le froid et la peur me ronger,
Mon coeur batter si vite,
Que je ne pouvais bouger,
Ces alors qu'un soupçon d'espoir et de bohneur,
Venais d'aparaitre devant mes yeux remplie d'horreur,
Cette chose me fixa,
De ces yeux noir,
Qui me redonna espoir,
Je sentit mon coeurse remplire de bohneur,
Et sous la noirseur de cette ruelle,
Je m'etais levais,
En fixant cette chose de mes yeux,
Plus je m'approcher,
Moin je senter la peur me ronger,
Apès quelque pas,
Je l'aperçus ,
Un splendide appaloosa,
J'approchie ma main tremblente,
Sur sa magnifique criniere d'une beauté epoustouflant.
Je voiyer la vie revenir en moi
Le froid et la peur me ronger,
Mon coeur batter si vite,
Que je ne pouvais bouger,
Ces alors qu'un soupçon d'espoir et de bohneur,
Venais d'aparaitre devant mes yeux remplie d'horreur,
Cette chose me fixa,
De ces yeux noir,
Qui me redonna espoir,
Je sentit mon coeurse remplire de bohneur,
Et sous la noirseur de cette ruelle,
Je m'etais levais,
En fixant cette chose de mes yeux,
Plus je m'approcher,
Moin je senter la peur me ronger,
Apès quelque pas,
Je l'aperçus ,
Un splendide appaloosa,
J'approchie ma main tremblente,
Sur sa magnifique criniere d'une beauté epoustouflant.
Je voiyer la vie revenir en moi