Je me souviens, il faisait nuit
Ils sont rentrés sans un bruit
Ils se sont acharnés, violer, mutiler et tuer
Ces guerriers, de sang ils étaient assoiffés
La vie est une chienne
Et ta terre est inhumaine
Regarde les, tes militaires
Ils en sont fiers de leur guerre
Depuis la nuit des temps
On tue père, mère et enfants
Au nom de qui et pourquoi
Ils ne le savent même pas
La mort au coin d’une rue ou au fond d’un parking
Pour une couleur, on assassine de martin Luther King
Ou parfois certain par fanatisme, on tue le mahatma Gandhi
Et d’autre pour une pigmentation noie dans la seine, en plein paris
Cette vie n’est pas la mienne
Et ta terre est trop inhumaine
Même dans nos rues, vie la haine
Et la bas, on crée des bombes humaines
Pendant la guerre combien de wagons
On a envoyé au camp de concentrations
Personne ne se posait pas la moindre question
Et maintenant il est venu le temps du pardon
Je sais que je peux continuer à rêver
Ou alors vous parlez d’une vraie paix
Et même aussi d’un coup me révolté
Mais il y a toujours des gens armés
Palestiniens ou arméniens
Israéliens ou irakiens
Combien d’enfant aux yeux chagrins
Et n’oublie jamais, les hommes sont inhumains
Ils sont rentrés sans un bruit
Ils se sont acharnés, violer, mutiler et tuer
Ces guerriers, de sang ils étaient assoiffés
La vie est une chienne
Et ta terre est inhumaine
Regarde les, tes militaires
Ils en sont fiers de leur guerre
Depuis la nuit des temps
On tue père, mère et enfants
Au nom de qui et pourquoi
Ils ne le savent même pas
La mort au coin d’une rue ou au fond d’un parking
Pour une couleur, on assassine de martin Luther King
Ou parfois certain par fanatisme, on tue le mahatma Gandhi
Et d’autre pour une pigmentation noie dans la seine, en plein paris
Cette vie n’est pas la mienne
Et ta terre est trop inhumaine
Même dans nos rues, vie la haine
Et la bas, on crée des bombes humaines
Pendant la guerre combien de wagons
On a envoyé au camp de concentrations
Personne ne se posait pas la moindre question
Et maintenant il est venu le temps du pardon
Je sais que je peux continuer à rêver
Ou alors vous parlez d’une vraie paix
Et même aussi d’un coup me révolté
Mais il y a toujours des gens armés
Palestiniens ou arméniens
Israéliens ou irakiens
Combien d’enfant aux yeux chagrins
Et n’oublie jamais, les hommes sont inhumains