[...]
Laisse moi te lire ici,
A l'abri derrière mon clavier,
Sans prose ni vers, des mots tout en sincérité.
Ose voir le verre plein à moitié,
Ah l'optimisme de l'amour assumé.
Offre moi s'il te plaît, ces aveux si attendus, merci.
Écris le donc ici,
Ouvre une fenêtre sur ton cœur opprimé,
Ravive ce brasier ardent trop souvent étouffé,
Car les flammes d'un amour caché ne s'éteignent jamais,
Mais elles réchauffent, brûlent, consument le cœur à jamais.
Alors dis le moi ici,
Car tu t'en rendras compte de toute façon,
Que tu détiens entre tes lèvres les clés de notre prison.
Ces fous rires, ces plaisirs, ces détails qui à tes yeux comptent autant,
Tout ce que je suis c'est pour t'attirer vers moi tel un aimant.
Finalement c'est à moi de te le dire ici,
A l'abri derrière mon clavier,
Sans prose ni vers, juste des mots cachés derrière ma timidité.
Si tu oses voir en moi plus que le secret d'un amour impossible,
Si tu penses qu'un tango à deux est possible,
Alors tu comprendras que le feu qui te brûle me consumme aussi,
Et on pourra enfin se dire "je t'aime, moi aussi".
Le poème initial
Laisse moi te lire ici,
A l'abri derrière mon clavier,
Sans prose ni vers, des mots tout en sincérité.
Ose voir le verre plein à moitié,
Ah l'optimisme de l'amour assumé.
Offre moi s'il te plaît, ces aveux si attendus, merci.
Écris le donc ici,
Ouvre une fenêtre sur ton cœur opprimé,
Ravive ce brasier ardent trop souvent étouffé,
Car les flammes d'un amour caché ne s'éteignent jamais,
Mais elles réchauffent, brûlent, consument le cœur à jamais.
Alors dis le moi ici,
Car tu t'en rendras compte de toute façon,
Que tu détiens entre tes lèvres les clés de notre prison.
Ces fous rires, ces plaisirs, ces détails qui à tes yeux comptent autant,
Tout ce que je suis c'est pour t'attirer vers moi tel un aimant.
Finalement c'est à moi de te le dire ici,
A l'abri derrière mon clavier,
Sans prose ni vers, juste des mots cachés derrière ma timidité.
Si tu oses voir en moi plus que le secret d'un amour impossible,
Si tu penses qu'un tango à deux est possible,
Alors tu comprendras que le feu qui te brûle me consumme aussi,
Et on pourra enfin se dire "je t'aime, moi aussi".
Le poème initial