Sors moi de cet endroit,
Ou les murs de mon cerveau,
Sur mon âme s'affaissent.
Enfermer dans ce caveau,
Devant toi je m'abaisse.
Ta grandeur m'aveugle.
Ta main, je saisi,
Et timidement, la baise.
Mes levres, encore se souviennent
De cette odeur de fraise.
J'ai cru que tu étais mienne.
Ton odeur m'enivre.
Tu me fais un signe,
Vers ton doux visage,
Mes yeux se lèvent.
Ma main, sur ta poitrine, fais passage.
Cette dureté me montre l'inévitable trêve.
Ta beauté m'adoucis.
Ta robe, tu retire.
Dans mes bras, tu te jette.
Dans ce grand lit, tu me pousse.
Enfin en toi je pénètre,
Tandis qu'au dehors, les autres, le vent repousse.
Ou les murs de mon cerveau,
Sur mon âme s'affaissent.
Enfermer dans ce caveau,
Devant toi je m'abaisse.
Ta grandeur m'aveugle.
Ta main, je saisi,
Et timidement, la baise.
Mes levres, encore se souviennent
De cette odeur de fraise.
J'ai cru que tu étais mienne.
Ton odeur m'enivre.
Tu me fais un signe,
Vers ton doux visage,
Mes yeux se lèvent.
Ma main, sur ta poitrine, fais passage.
Cette dureté me montre l'inévitable trêve.
Ta beauté m'adoucis.
Ta robe, tu retire.
Dans mes bras, tu te jette.
Dans ce grand lit, tu me pousse.
Enfin en toi je pénètre,
Tandis qu'au dehors, les autres, le vent repousse.