Simplement ça
Une personne de bien, pour cinq autres qui conspuent,
C’est le monde aujourd’hui, et de hier et de demain,
Et c’est comme ça,
La lumière d’un seul être, éclairant la peur des rues,
Puisse que rien n’arrête, la puissance de ses mains,
Et qu’elle reste là,
Face aux douleurs de l’artifice, et des âmes de rouge et noir,
Que la douceur de ses actions, ne connaisse pas le désespoir.
Simplement ça.
Une aura apaisée, pour cinq autres qui défaillent,
C’est le combat inégal, d’une vie bien peu banale,
Et c’est comme ça,
La force d’une seule existence, pour gagner la bataille,
Puisse le gris s’effacer, laissant le blanc pour fanal,
Et qu’elle reste là,
Face aux miroirs de l’artifice, et des larmes qui coulent le soir,
Que la justesse de ses mots, transforme tous les murs en couloirs.
Simplement ça.
Une sensation aimable, pour cinq autres qui font mal,
C’est sa joie qui nous plaît, un sourire qui nous rend fort,
Et c’est comme ça
La merveilleuse impression, que la vie n’est pas bancale,
Puisse toujours perdurer, cette présence, qui vaut l’or,
Et qu’elle reste là,
Face aux couleurs de l’artifice, les changer en arc en ciel,
Que la musique de sa tendresse, transforme le charbon en miel.
Simplement ça.
Une galère d’effacée, pour cinq autres qui arrivent,
C’est de ne rien regretter, qui délivre les chemins,
Et c’est comme ça,
La volonté d’y croire, et de toujours voir la rive,
Puisse à jamais continuer, de couler l’eau et le vin,
Et qu’elle reste là,
Face aux chansons de l’artifice, peintes de rouge et de noir,
Que l’amour trouve son passage, pour avoir enfin la victoire.
Simplement ça.
Une personne de bien, pour cinq autres qui conspuent,
C’est le monde aujourd’hui, et de hier et de demain,
Et c’est comme ça,
La lumière d’un seul être, éclairant la peur des rues,
Puisse que rien n’arrête, la puissance de ses mains,
Et qu’elle reste là,
Face aux douleurs de l’artifice, et des âmes de rouge et noir,
Que la douceur de ses actions, ne connaisse pas le désespoir.
Simplement ça.
Une aura apaisée, pour cinq autres qui défaillent,
C’est le combat inégal, d’une vie bien peu banale,
Et c’est comme ça,
La force d’une seule existence, pour gagner la bataille,
Puisse le gris s’effacer, laissant le blanc pour fanal,
Et qu’elle reste là,
Face aux miroirs de l’artifice, et des larmes qui coulent le soir,
Que la justesse de ses mots, transforme tous les murs en couloirs.
Simplement ça.
Une sensation aimable, pour cinq autres qui font mal,
C’est sa joie qui nous plaît, un sourire qui nous rend fort,
Et c’est comme ça
La merveilleuse impression, que la vie n’est pas bancale,
Puisse toujours perdurer, cette présence, qui vaut l’or,
Et qu’elle reste là,
Face aux couleurs de l’artifice, les changer en arc en ciel,
Que la musique de sa tendresse, transforme le charbon en miel.
Simplement ça.
Une galère d’effacée, pour cinq autres qui arrivent,
C’est de ne rien regretter, qui délivre les chemins,
Et c’est comme ça,
La volonté d’y croire, et de toujours voir la rive,
Puisse à jamais continuer, de couler l’eau et le vin,
Et qu’elle reste là,
Face aux chansons de l’artifice, peintes de rouge et de noir,
Que l’amour trouve son passage, pour avoir enfin la victoire.
Simplement ça.