Simone, viens donc voir si ma prose.( juste pour rire)
Simone, viens donc voir si ma prose
Qui se matin encore explose
Sobre en son pourpre de miel,
N’a point perdu en volupté
Mépris d’opprobre des facultés,
Comme on peint sot en vermeil.
Là ! Voyez comme un feu en place,
Simone, elle a reçu sa glace
Ici, là, j’ai ôté, je laisse choir !
Evidemment madame nature,
Puis qu'une telle peur n’endure
Que du satin jusque au soir !
Donc, si vous l’envoyez Simone,
Tandis que mon adage résonne
En mon alerte puberté,
Veillez, Veillez à ma tendresse :
Comme ma veste effleure la jeunesse
Fera tenir notre amitié.
Simone, viens donc voir si ma prose
Qui se matin encore explose
Sobre en son pourpre de miel,
N’a point perdu en volupté
Mépris d’opprobre des facultés,
Comme on peint sot en vermeil.
Là ! Voyez comme un feu en place,
Simone, elle a reçu sa glace
Ici, là, j’ai ôté, je laisse choir !
Evidemment madame nature,
Puis qu'une telle peur n’endure
Que du satin jusque au soir !
Donc, si vous l’envoyez Simone,
Tandis que mon adage résonne
En mon alerte puberté,
Veillez, Veillez à ma tendresse :
Comme ma veste effleure la jeunesse
Fera tenir notre amitié.