A l'ombre fraîche des glycines
Lorsque le soleil fatigué, décline
J'irai m'étendre doucement,
Goûter le silence d'or de l'été.
J'écouterai sans trêve
Les bruits de la ville qui s'apaisent
Comme lorsque se meurt la braise
Et que la fête s'achève.
Je me noierai dans le bonheur,
Que l'on éprouve à cette heure,
Quand le silence est à son firmament
Et que l'on peut rêver tranquillement.
01.04.99 Anaïs
Lorsque le soleil fatigué, décline
J'irai m'étendre doucement,
Goûter le silence d'or de l'été.
J'écouterai sans trêve
Les bruits de la ville qui s'apaisent
Comme lorsque se meurt la braise
Et que la fête s'achève.
Je me noierai dans le bonheur,
Que l'on éprouve à cette heure,
Quand le silence est à son firmament
Et que l'on peut rêver tranquillement.
01.04.99 Anaïs