Si jamais je meurs
Mais si tu survis
Aurais-tu peur
Pour ta vie?
Sans toi je ne suis rien
Tu le sais si bien
Mais veux-tu bien
Que je prenne ta main?
Parfois tu me fais sourire
Seulement, je suis noir
Et quand tu me fais rire
Je grave ce moment dans ma mémoire
Après plus d'un an
De bonheurs sans limites
Tu m'obliges à aller de l'avant
Et c'est là que tu m'évites
« Pourquoi? »t'ai-je demandé
Je ne sais quoi te dire
Et tu m'as repoussé
Tu es partie sans rien dire...
Un mois plus tard
Tu es revenue
Mais c'était trop tard
Et tu avais perdu
Mon suicide était déjà calculé
La machine est en marche
Rien n'a pu m'arrêter
Guidé par une arche
Des années après, tu as gardé
Ce souvenir si profond
Encore aujourd'hui, rien n'a changé
Et toi, tu touches le fond.
Lecteur ou lectrice
Arrêtes-toi une seconde.
Que penses-tu de ce vice
Qui parcourt le monde?
Je parle de l'amour, le vrai
Qui, quand il ne se partage pas
Est le plus dur et le plus laid
Amour où personne ne survivra.
Mais si tu survis
Aurais-tu peur
Pour ta vie?
Sans toi je ne suis rien
Tu le sais si bien
Mais veux-tu bien
Que je prenne ta main?
Parfois tu me fais sourire
Seulement, je suis noir
Et quand tu me fais rire
Je grave ce moment dans ma mémoire
Après plus d'un an
De bonheurs sans limites
Tu m'obliges à aller de l'avant
Et c'est là que tu m'évites
« Pourquoi? »t'ai-je demandé
Je ne sais quoi te dire
Et tu m'as repoussé
Tu es partie sans rien dire...
Un mois plus tard
Tu es revenue
Mais c'était trop tard
Et tu avais perdu
Mon suicide était déjà calculé
La machine est en marche
Rien n'a pu m'arrêter
Guidé par une arche
Des années après, tu as gardé
Ce souvenir si profond
Encore aujourd'hui, rien n'a changé
Et toi, tu touches le fond.
Lecteur ou lectrice
Arrêtes-toi une seconde.
Que penses-tu de ce vice
Qui parcourt le monde?
Je parle de l'amour, le vrai
Qui, quand il ne se partage pas
Est le plus dur et le plus laid
Amour où personne ne survivra.