Si j’étais,
Si j’étais assemblé de parties de chairs mortes
A l’aspect hideux, un monstre de cicatrices
Je le sais, aucun de vous, n’ouvrira sa porte
A me voir, nul ne peut supporter ce supplice !
Suis-je coupable de la folie d’un savant
Capable de déterrer, les corps des pendus
Pour recréer la vie, suis-je un mort-vivant
L’œuvre d’un démon, le fruit d’un malentendu.
N’ayez surtout pas peur, mais j’ai aussi un cœur
Faut-il être Apollon, posséder sa beauté
Pour se sentir aimé, je n’ai pas de rancœur
Comprenez le, la laideur n’est pas un péché !
Si j’étais assemblé de parties de chairs mortes
A l’aspect hideux, un monstre de cicatrices
Je le sais, aucun de vous, n’ouvrira sa porte
A me voir, nul ne peut supporter ce supplice !
Suis-je coupable de la folie d’un savant
Capable de déterrer, les corps des pendus
Pour recréer la vie, suis-je un mort-vivant
L’œuvre d’un démon, le fruit d’un malentendu.
N’ayez surtout pas peur, mais j’ai aussi un cœur
Faut-il être Apollon, posséder sa beauté
Pour se sentir aimé, je n’ai pas de rancœur
Comprenez le, la laideur n’est pas un péché !