Seulement t'aimer
Te retenir, j’aurais voulu te retenir,
Ce fut impossible de te regarder partir,
Sur mes joues des larmes ont glissé,
Autour de toi, les voiles se sont hissées,
Le soir arrive et doucement la nuit s’étire,
Souvent je faisais ce rêve de t’appartenir.
Te parler, j’aurais dû tenter de te parler,
Au lieu d’aller sans bruit, ailleurs m’isoler,
Même avec des mots déchirés de tristesse,
Je laisse des serments d’amour et de tendresse,
De toi, je garde des souvenirs en secret,
Souvent, je pose sur toi un regard discret.
T’ouvrir mes bras et te couvrir de douceur extrême,
Mon cœur, j’aurais tellement voulu t’offrir mon cœur,
J’aurais pu tout t’accorder pour un seul de tes regards,
Rêveuse de tes bras, tes mots, tes regards, je m’égare,
Seulement ton sourire efface mes effrois et mes pleurs,
J’attends juste de toi, une effusion, un baiser, un je t’aime.
T’aimer, j’aurais dû oser simplement t’aimer,
Dans le silence de mes nuits, à toi je pensais,
À travers les saisons, mon amour n’a cessé,
Malgré la distance, mon âme t’a cherché.
Te chercher, dans les étoiles je continue de te chercher,
Espérant qu’un jour, nos chemins puissent se recroiser,
Dans l’éclat d’un rêve, ou sous la lune argentée,
Je garde l’espoir d’un signe, d’une destinée partagée.
Te retrouver, oh combien je désire te retrouver,
Juste te dire tout ce que mon cœur a gardé,
Les mots que le vent a emportés loin d’ici,
Sont gravés à jamais, comme une mélodie infinie.
T’embrasser, enfin, pouvoir doucement t’embrasser,
Sentir la chaleur de tes lèvres, m’y abandonner,
Dans un souffle partagé, nos âmes s’entrelacer,
Et dans un murmure, te dire ‘je t’ai toujours aimé.
Te retenir, j’aurais voulu te retenir,
Ce fut impossible de te regarder partir,
Sur mes joues des larmes ont glissé,
Autour de toi, les voiles se sont hissées,
Le soir arrive et doucement la nuit s’étire,
Souvent je faisais ce rêve de t’appartenir.
Te parler, j’aurais dû tenter de te parler,
Au lieu d’aller sans bruit, ailleurs m’isoler,
Même avec des mots déchirés de tristesse,
Je laisse des serments d’amour et de tendresse,
De toi, je garde des souvenirs en secret,
Souvent, je pose sur toi un regard discret.
T’ouvrir mes bras et te couvrir de douceur extrême,
Mon cœur, j’aurais tellement voulu t’offrir mon cœur,
J’aurais pu tout t’accorder pour un seul de tes regards,
Rêveuse de tes bras, tes mots, tes regards, je m’égare,
Seulement ton sourire efface mes effrois et mes pleurs,
J’attends juste de toi, une effusion, un baiser, un je t’aime.
T’aimer, j’aurais dû oser simplement t’aimer,
Dans le silence de mes nuits, à toi je pensais,
À travers les saisons, mon amour n’a cessé,
Malgré la distance, mon âme t’a cherché.
Te chercher, dans les étoiles je continue de te chercher,
Espérant qu’un jour, nos chemins puissent se recroiser,
Dans l’éclat d’un rêve, ou sous la lune argentée,
Je garde l’espoir d’un signe, d’une destinée partagée.
Te retrouver, oh combien je désire te retrouver,
Juste te dire tout ce que mon cœur a gardé,
Les mots que le vent a emportés loin d’ici,
Sont gravés à jamais, comme une mélodie infinie.
T’embrasser, enfin, pouvoir doucement t’embrasser,
Sentir la chaleur de tes lèvres, m’y abandonner,
Dans un souffle partagé, nos âmes s’entrelacer,
Et dans un murmure, te dire ‘je t’ai toujours aimé.