J’étais le parfait nageur dans ton bain.
Qui bourlinguait dans ton vaste bassin.
J’étais dans ton ventre le parfait bédouin.
Te vidant de nourriture en cas de besoin .
Tu me portais comme on porte son couffin.
Avec délicatesse, tu faisais attention afin,
De faire aboutir mon premier cri à sa fin.
Je frappais sans plaisir et d’un esprit badin.
Dans le vide aquatique te faisant mon câlin.
Tu endurais ce plaisir, tu faisais le malin.
Eperdu de toi, je me déclarais ton Merlin.
Neuf moi d’amour, je voulais être le pèlerin.
Fuyant ce dortoir qui devenait pure venin.
A la rencontre passionnée de tes mains.
Qui me porteraient droit côtoyer tes seins.
Maman je t’aime.
Qui bourlinguait dans ton vaste bassin.
J’étais dans ton ventre le parfait bédouin.
Te vidant de nourriture en cas de besoin .
Tu me portais comme on porte son couffin.
Avec délicatesse, tu faisais attention afin,
De faire aboutir mon premier cri à sa fin.
Je frappais sans plaisir et d’un esprit badin.
Dans le vide aquatique te faisant mon câlin.
Tu endurais ce plaisir, tu faisais le malin.
Eperdu de toi, je me déclarais ton Merlin.
Neuf moi d’amour, je voulais être le pèlerin.
Fuyant ce dortoir qui devenait pure venin.
A la rencontre passionnée de tes mains.
Qui me porteraient droit côtoyer tes seins.
Maman je t’aime.