Mon passé, que caches-tu dans l'obscurité
De ce que tu ne peux point voir dans la clarté ?
Le bonheur sera bien plus fort, celui d'entendre
Ou de croire en l'amour auquel il veut prétendre.
Le passé de chacun ne peut être changé
Et le futur de tous sur Terre, imaginé,
Mais il est des âmes de lune au présent perdu
Qui se demandent et voient leur torpeur éperdue.
Ô temps révolu cherchant là, dans ma tristesse
Encore de quoi te lier à ma pseudo jeunesse
Tu sais bien que nous finirons, par le savoir,
De rendre le bonheur mérité à avoir.
Si je ne pu te toucher, mais te tutoyer,
C'est que tu étais trop belle. Moi qui fut noyé
Sous tes arc-en-ciels parés de mille couleurs
Sur la rive océan aux divines odeurs.
De ce que tu ne peux point voir dans la clarté ?
Le bonheur sera bien plus fort, celui d'entendre
Ou de croire en l'amour auquel il veut prétendre.
Le passé de chacun ne peut être changé
Et le futur de tous sur Terre, imaginé,
Mais il est des âmes de lune au présent perdu
Qui se demandent et voient leur torpeur éperdue.
Ô temps révolu cherchant là, dans ma tristesse
Encore de quoi te lier à ma pseudo jeunesse
Tu sais bien que nous finirons, par le savoir,
De rendre le bonheur mérité à avoir.
Si je ne pu te toucher, mais te tutoyer,
C'est que tu étais trop belle. Moi qui fut noyé
Sous tes arc-en-ciels parés de mille couleurs
Sur la rive océan aux divines odeurs.
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