En m'approchant de la caravelle
Sur le pont, je l'ai aperçu
Flottait sa chevelure couleur de miel
Élégante à moitié nue
Mon cœur enflammait de tentation
Battait dans ma poitrine violemment
S'en bouger, je suis resté en observation
Laissant voguer mon regard aimant
Discrètement je me suis approchée
Savourant ses lèvres gourmandes
Mes yeux sans délectaient
Avec envie et demande
La brise soufflant vers moi, m'enivrait
De cette douce odeur exaltante
Excitant mon corps fébrile et discret
De cette envie insupportable et montante
Ses seins ressemblent à des collines opulentes
Que je souhaitais chevauchée à cet instant
Me délivrant de ses charmes déroutant
De cet ensorcèlement émouvant
À cet instant précis
Gorge et bouche desséché
Mon âme à compris
Que je devais la retrouvée
Dans quelques instants, je la couvrirais
Sans retenue et envie
De mes doux et tendres baisers
En cherchant son trésor enfoui
À quelque pas, d'accoster doucement la proue
Accrocher à la chaine, je me hissais
Avec hâte en regardant partout
Pour enfin pouvoir de mes bras la serrer
Glissant sur le pont, il me tardait
De pouvoir goûter à sa peau
Plongeait mes lèvres dans son cou protecteur
S’unissant en levant tous les idéaux
Sur le point d'être prés d'elle
Elle c'est retournée, sans prendre peur
En dévoilant ses battements pulsionnels
Majestueuse, aussi douce qu'une fleur
Elle c'est approchée de moi
Ma tendu la main, pour me relever
De son regard chamois
Je m'y suis arrimé
Plus besoin de la deviner
Mes mains dansent sur son corps
Gémissant l'érotisme qui sommeillait
Orchestrant, nos soufflent en accords
Découvrant cette montagne de sensualité
M'offrant l'amour généreusement avec tendresse
Chaque partie de son corps, je gravirais
Jusqu'à l’ascension du Mont-Vénus, souillé de mille caresses
Ressentant monter, furieusement
S'accroitre l’extase frémissante
En nous, ces cris de hurlement
Finissaient en piste glissante
Refermant mes bras sur ma belle
J'ai compris qu’au cœur de cette petite ville
Il excitait un petit paradis
Cette terre qui ressemble à une île
La où sans hésitation, j'ai décidée de déposer ma valise pour y,
... Faire ma vie ...
-Fin-
Delphine D.
© Tous droits réservés.
Sur le pont, je l'ai aperçu
Flottait sa chevelure couleur de miel
Élégante à moitié nue
Mon cœur enflammait de tentation
Battait dans ma poitrine violemment
S'en bouger, je suis resté en observation
Laissant voguer mon regard aimant
Discrètement je me suis approchée
Savourant ses lèvres gourmandes
Mes yeux sans délectaient
Avec envie et demande
La brise soufflant vers moi, m'enivrait
De cette douce odeur exaltante
Excitant mon corps fébrile et discret
De cette envie insupportable et montante
Ses seins ressemblent à des collines opulentes
Que je souhaitais chevauchée à cet instant
Me délivrant de ses charmes déroutant
De cet ensorcèlement émouvant
À cet instant précis
Gorge et bouche desséché
Mon âme à compris
Que je devais la retrouvée
Dans quelques instants, je la couvrirais
Sans retenue et envie
De mes doux et tendres baisers
En cherchant son trésor enfoui
À quelque pas, d'accoster doucement la proue
Accrocher à la chaine, je me hissais
Avec hâte en regardant partout
Pour enfin pouvoir de mes bras la serrer
Glissant sur le pont, il me tardait
De pouvoir goûter à sa peau
Plongeait mes lèvres dans son cou protecteur
S’unissant en levant tous les idéaux
Sur le point d'être prés d'elle
Elle c'est retournée, sans prendre peur
En dévoilant ses battements pulsionnels
Majestueuse, aussi douce qu'une fleur
Elle c'est approchée de moi
Ma tendu la main, pour me relever
De son regard chamois
Je m'y suis arrimé
Plus besoin de la deviner
Mes mains dansent sur son corps
Gémissant l'érotisme qui sommeillait
Orchestrant, nos soufflent en accords
Découvrant cette montagne de sensualité
M'offrant l'amour généreusement avec tendresse
Chaque partie de son corps, je gravirais
Jusqu'à l’ascension du Mont-Vénus, souillé de mille caresses
Ressentant monter, furieusement
S'accroitre l’extase frémissante
En nous, ces cris de hurlement
Finissaient en piste glissante
Refermant mes bras sur ma belle
J'ai compris qu’au cœur de cette petite ville
Il excitait un petit paradis
Cette terre qui ressemble à une île
La où sans hésitation, j'ai décidée de déposer ma valise pour y,
... Faire ma vie ...
-Fin-
Delphine D.
© Tous droits réservés.