J'ai pris des cuites par centaines à mon adolescence
Des beuveries pour peut être apaiser ma souffrance
Je me réveillai le lendemain, la gueule de bois
Comme compagne une cuvette pour la crise de foie
Mon premier rendez vous avec l'alcool
Je fréquentai encore les bancs de l'école
Quinze ans ans, j'avais à peine de la barbe
Premières gorgées de vin de rhubarbe
Pour moi, le pire était de faire des mélanges
Vin rouge, bière, Malibu, Vodka orange
Je passai mon tour pour le Pastis de Marseille
Avec le jaune, j'avais un mal de crâne au réveil
Le lendemain, je dégueulai mes tripes et mes boyaux
Accompagnée toujours de cette parole de poivrots
< Fini, je ne boirai plus jamais de ma vie >
Je tenais parole la semaine mais le Samedi
C'était reparti entres potes pour picoler
Le Café de la Place était notre Q G
Paulette et Marcel avec nous faisaient recette
C'était bien c'était chouette chez Paulette
Nous avons investi dans leurs murs
A dépenser du fric dans nos bitures
Mais attention jamais laisser d'ardoises
Il y avais toujours un gars pour payer une gerboise
Je tenais particulièrement bien la route à la bière
J'encaissai les coups avant de rouler par terre
Quand j'éclusai, j'avais la cuite guillerette
Parfois j'étais le bouffon du roi, j'animai la fête
Maintenant comme on dit j'ai pris de la bouteille
Et que je vais être détenir de la carte vermeil
Les potes me disent < Tu ne tapes plus dans la fiole >
Je leur dis < Non, mes cadets sans alcool, la fête est plus folle>
Avec le temps et de la sagesse, je suis devenu raisonnable
Plus une goutte d'antigel, je ne roule plus sous la table
A bien y penser a quoi bon picoler pour qui pour quoi
Le lendemain au lever, tes problèmes sont toujours la
Des beuveries pour peut être apaiser ma souffrance
Je me réveillai le lendemain, la gueule de bois
Comme compagne une cuvette pour la crise de foie
Mon premier rendez vous avec l'alcool
Je fréquentai encore les bancs de l'école
Quinze ans ans, j'avais à peine de la barbe
Premières gorgées de vin de rhubarbe
Pour moi, le pire était de faire des mélanges
Vin rouge, bière, Malibu, Vodka orange
Je passai mon tour pour le Pastis de Marseille
Avec le jaune, j'avais un mal de crâne au réveil
Le lendemain, je dégueulai mes tripes et mes boyaux
Accompagnée toujours de cette parole de poivrots
< Fini, je ne boirai plus jamais de ma vie >
Je tenais parole la semaine mais le Samedi
C'était reparti entres potes pour picoler
Le Café de la Place était notre Q G
Paulette et Marcel avec nous faisaient recette
C'était bien c'était chouette chez Paulette
Nous avons investi dans leurs murs
A dépenser du fric dans nos bitures
Mais attention jamais laisser d'ardoises
Il y avais toujours un gars pour payer une gerboise
Je tenais particulièrement bien la route à la bière
J'encaissai les coups avant de rouler par terre
Quand j'éclusai, j'avais la cuite guillerette
Parfois j'étais le bouffon du roi, j'animai la fête
Maintenant comme on dit j'ai pris de la bouteille
Et que je vais être détenir de la carte vermeil
Les potes me disent < Tu ne tapes plus dans la fiole >
Je leur dis < Non, mes cadets sans alcool, la fête est plus folle>
Avec le temps et de la sagesse, je suis devenu raisonnable
Plus une goutte d'antigel, je ne roule plus sous la table
A bien y penser a quoi bon picoler pour qui pour quoi
Le lendemain au lever, tes problèmes sont toujours la