Salammbô la vierge
Quand a l’aube de la vie
Vient se mêlé l’ennui
Qui pourra me dire
Ce qui me fera vivre
Rien ne sert de vivre sans question
Quelle muse me charmera de ses dons
Qui pourra me dire
Ce qui me fera vivre
Ame sereine ou tout n’est rien
Dont choses impossibles deviennent réalités
Tirailler par la beauté et non par la fin
Essence de la clarté en moi réveillée
L’indifférence de la fin
Gestes inutiles de la main
Rencontres futiles sans émoi
Qu’importe la route sans foi
Eternel sentiment de la peur
Disparu a jamais de mon coeur
Corps disloqués au-delâ des rochers
Futile objet d’une vie renfermée
Sur les pentes de l’univers
J’erre sans doute pervers
Seul je répondrais à l’écho
Je viens vers toi Salammbô
Quand a l’aube de la vie
Vient se mêlé l’ennui
Qui pourra me dire
Ce qui me fera vivre
Rien ne sert de vivre sans question
Quelle muse me charmera de ses dons
Qui pourra me dire
Ce qui me fera vivre
Ame sereine ou tout n’est rien
Dont choses impossibles deviennent réalités
Tirailler par la beauté et non par la fin
Essence de la clarté en moi réveillée
L’indifférence de la fin
Gestes inutiles de la main
Rencontres futiles sans émoi
Qu’importe la route sans foi
Eternel sentiment de la peur
Disparu a jamais de mon coeur
Corps disloqués au-delâ des rochers
Futile objet d’une vie renfermée
Sur les pentes de l’univers
J’erre sans doute pervers
Seul je répondrais à l’écho
Je viens vers toi Salammbô