Huile sur toile de Valérie Crochard
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"Rouge colère"
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Huile sur toile de Valérie Crochard sur facebook
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Rouge Colère
L’océan révolté fait tanguer le voilier
Même le ciel rougeoie et souffle la tornade
Car plus rien ne l’apaise et comme un cavalier
Neptune en sa colère offre sa cantonade.
Le roulis sur la coque est inhospitalier,
C’est un sort incompris frappant la sérénade,
L’océan révolté fait tanguer le voilier,
Même le ciel rougeoie et souffle la tornade.
Quand la voile se ferme et le seul maître à bord :
Le marin du bateau se trouvant à la barre
Est-il seul capitaine à tourner vers bâbord ?
Quand l’accable le froid vers la nuit bien barbare,
Tentant une percée en offrant ce décor
Car l’humain effacé sous la force rembarre
Quand la voile se ferme et le seul maître à bord :
Le marin du bateau se trouvant à la barre.
Et la mer, sous le ciel, grisée au vent houleux
Car offrant le spectacle en furie une vague,
Ira-t-elle aussi loin à briser tous les cieux ?
Restera-t-il encore un espoir sous la drague ?
Sous le rouge intensif aux courroux nébuleux,
En la soif du danger le mortel tait la blague,
Et la mer, sous le ciel, grisée au vent houleux
Car offrant le spectacle en furie une vague.
Maria-Dolores
L’océan révolté fait tanguer le voilier
Même le ciel rougeoie et souffle la tornade
Car plus rien ne l’apaise et comme un cavalier
Neptune en sa colère offre sa cantonade.
Le roulis sur la coque est inhospitalier,
C’est un sort incompris frappant la sérénade,
L’océan révolté fait tanguer le voilier,
Même le ciel rougeoie et souffle la tornade.
Quand la voile se ferme et le seul maître à bord :
Le marin du bateau se trouvant à la barre
Est-il seul capitaine à tourner vers bâbord ?
Quand l’accable le froid vers la nuit bien barbare,
Tentant une percée en offrant ce décor
Car l’humain effacé sous la force rembarre
Quand la voile se ferme et le seul maître à bord :
Le marin du bateau se trouvant à la barre.
Et la mer, sous le ciel, grisée au vent houleux
Car offrant le spectacle en furie une vague,
Ira-t-elle aussi loin à briser tous les cieux ?
Restera-t-il encore un espoir sous la drague ?
Sous le rouge intensif aux courroux nébuleux,
En la soif du danger le mortel tait la blague,
Et la mer, sous le ciel, grisée au vent houleux
Car offrant le spectacle en furie une vague.
Maria-Dolores
